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Présidence de la FAF

La course est lancée

Avant l'échéance électorale du mois de mars prochain au niveau de la FAF, quatre noms circulent déjà pour le poste suprême: Kheïreddine Zetchi, Abdelkrim Medouar, Mahfoud Kerbadj et, enfin, Walid Sadi.

L'Assemblée générale élective de la Fédération algérienne de football (FAF), prévue au mois de mars prochain, soit dans 2 mois, et déjà quatre noms sont cités comme candidats à ce scrutin. Ceci, même si jusqu'à présent, aucun d'eux n'a confirmé ou infirmé. Les quatre candidats dont les noms circulent actuellement sont: le président de la FAF en fonction, Kheïreddine Zetchi, celui qui gère les affaires courantes de la Ligue de football professionnel (LFP), Abdelkrim Medouar, son prédécesseur, Mahfoud Kerbadj, et enfin, l'ancien bras droit de l'ex-président de la FAF, Mohamed Raouraoua, à savoir Walid Sadi. À la même période de l'année dernière, on avait, en plus des actuels candidats, l'actuel membre du BF Amar Bahloul, l'ancien membre du Bureau fédéral, Djahid Zefzef. Bahloul avait indiqué qu'il ne se présenterait pas contre son président actuel, alors que Zefzef n'a pipé mot pour le moment. Le moins que l'on puisse dire des candidats actuels pour le poste de présidence de la FAF est qu'ils ont tous connu parfaitement les arcanes et surtout les coulisses du football national. Les yeux seront d'ailleurs braqués sur l'actuel président, Zetchi, car, avec l'avantage qu'il a d'être déjà en poste, il serait vraiment difficile de lui ravir ce poste s'il décide vraiment de le convoiter. D'ailleurs, des observateurs et des spécialistes des coulisses de la FAF pensent vraiment que Zetchi n'est pas prêt à quitter la présidence de la FAF avec tous les avantages qu'il a découvert depuis son élection en 2017, aussi bien à l'échelle, régionale, continentale que mondiale. D'ailleurs, il s'est même porté récemment candidat pour le poste de membre du Conseil de la Fédération internationale de football (FIFA) lors de la prochaine Assemblée générale prévue le 12 mars au Maroc. Pour la présidence de la FAF, il est utile de rappeler que juste après le titre africain arraché par Belmadi et ses joueurs en terre égyptienne, Zetchi avait alors annoncé son intention de quitter son poste. La cause, disait-on, était qu'il a été très déçu après son retour d'Egypte, lorsqu'on l'avait privé, à l'époque, de la cérémonie organisée en l'honneur des champions d'Afrique. Quelques mois plus tard, Zetchi fait le constat que personne ne l'a sollicité pour continuer. Mais depuis, beaucoup d'eau a coulé sous les ponts et surtout la réaction du coach, champion d'Afrique en titre, Djamel Belmadi, qui avait glissé à Sid Ali Khaldi, ministre de la Jeunesse et des Sports, que la «stabilité était importante à tous les niveaux». Décodé, ce message voudrait simplement dire qu'il faut garder le président Zetchi. Et nul doute qu'il ne faudrait surtout pas nier ce «soutien» du MJS au président de la FAF pour le poste de membre du Conseil de la FIFA. Les autres candidats en lice, savent très bien, que le jeu des coulisses est d'une importance capitale. Et pour succéder à n'importe quel président de Fédération en poste, qui se présentera à sa succession, il faudrait avoir des atouts bien supérieurs à ceux qu'il possède au moment des élections. En d'autres termes, il y a un seul paramètre qui sera déterminant à ce moment-là: le paramètre «décideurs politiques».

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