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MC Oran

L'imbroglio!

En ballottage, la situation tendue risque de faire effet boule de neige, à telle enseigne qu'elle pourrait provoquer un blocage.

Les premiers germes d'un conflit latent. Le feuilleton des déboires du club fanion de l'Oranie se poursuit. Étant loin de connaître l'heureux épilogue, cette série est dans son nouvel épisode portant le nom du sujet qui fâche, l'ouverture des actions pour laquelle les membres du conseil d'administration, les actionnaires du MCO,
commençant à ne plus se regarder en face, sont divergents. Faute de consensus. Ils n'arrivent plus à s'entendre sur l'avenir du club. À
l'origine de ce nouvel élément, qui risque de tourner en bras de fer pouvant s'inscrire dans la durée, l'ouverture du capital social de la SSPA en le portant de 4,5 à 12 milliards de
centimes. Ainsi, les premiers contours d'un combat acharné se dessinent d'ores et déjà. Si certains actionnaires n'ont pas dissimulé leurs ambitions quant à revoir à la hausse le capital de la SSPA, le président Tayeb Mehiaoui constitue le premier rempart s'opposant catégoriquement à revoir l'actionnariat avant l'avènement d'une société nationale devant racheter toutes les parts. La situation risque de ballotter et faire effet boule de neige dans l'éventuelle situation de la persistance du blocage. Un autre événement, et pas des moindres, fait surface, ce problème risque de faire perdurer la crise au sein de la maison des Hamraoua, et ce, après le départ de l'avocat du club du temps de Belhadj Ahmed, dit Baba. Il s'agit principalement de l'absence, jusque-là inexpliquée, du deuxième signataire des chéquiers et des transactions à opérer au nom et au profit du club. Celui-ci, s'étant éclipsé sans donner signe devie tandis que les actionnaires ont majoritairement désavoué la mise en place d'un troisième signataire, en l'occurrence Bensedjrari.
Cela survient alors que la situation est d'autant plus qu'urgente, et que la priorité est donnée à la préparation du dossier à remettre à la direction de contrôle de la gestion et des finances (DCGF), présidée par Réda Abdouche.
En agissant de la sorte, les actionnaires sont désignés comme étant les partisans du statuquo en maintenant le suspense alors que les supporters, ne décolérant toujours pas, revendiquent leur départ et de remettre le club entre les mains d'une société nationale. Mais à quel prix si l'on prend en compte la situation qui prévaut dans cette maison, dont les démêlés de toutes les formes s'accumulent de jour en jour?

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