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Contrat TV CAF - Lagardère

Ahmad et Omari dans le collimateur de la FIFA

La FIFA aurait demandé des informations concernant un accord TV conclu entre la CAF et le groupe français Lagardère, selon le New York Times. D'après les premières informations à ce sujet, la FIFA veut connaître les raisons qui ont poussé la CAF à réduire le montant de la garantie des droits TV inclus dans le contrat avec Lagardère, tout en déchargeant le groupe français de son obligation de collecter 20 millions de dollars de créances auprès d'un seul diffuseur. La CAF aurait même acheté cette dette pour 6,7 millions de dollars, en espérant recouvrir le montant global par la suite. Le New York Times indique que le président de la CAF, Ahmad Ahmad, et son premier vice-président Constant Omari doivent fournir les explications nécessaires à la FIFA dans cette affaire. La nouvelle enquête de la FIFA n'est que le dernier problème pour Ahmad, qui a été brièvement détenu l'année dernière par les autorités françaises enquêtant sur des allégations de détournement de fonds et qui fait face à une enquête d'éthique distincte de la FIFA concernant des plaintes de harcèlement sexuel par plusieurs employées et consultantes. Cela arrive également à un moment charnière pour le football africain: Ahmad cherche un nouveau mandat de 4 ans au début de l'année prochaine, et des sanctions liées à l'un des cas ouverts pourraient le disqualifier. Le mois dernier, la FIFA avait écrit à Ahmad, qui a pris un congé de convalescence de 20 jours après avoir contracté le coronavirus, et à Omari, qui assure actuellement l'intérim, leur demandant d'expliquer leurs décisions de modifier l'accord télévisé. S'ils ne le font pas, les deux hommes pourraient faire face à des accusations en vertu du code d'éthique de la FIFA. Tout comme Ahmad, Omari, 62 ans, est membre du Conseil de la FIFA. La FIFA a refusé de commenter la nouvelle enquête du journal américain, invoquant sa politique «de ne pas commenter les travaux de sa commission d'éthique». Ahmad a refusé de son côté de commenter le fond de l'enquête, affirmant dans un message qu'il respectait le principe de confidentialité même lorsque d'autres ne le faisaient pas. Omari, qui a accumulé une puissance significative dans le football africain en tant qu'officiel N°2 de la CAF, n'a pas répondu à une demande du New York Times.

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