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Réhabilitation des oasis du Tassili

Un projet ambitieux

Dans le cadre du projet intégré Aedd « réhabilitation des oasis du Tassili », un projet initié par une association environnementale à but non lucratif, un atelier de formation à été mis en place dans de bonnes conditions pour contribuer un tant soit peu au développement de cette oasis. L’atelier animé par Barbara Mas et Quique salgado association Dottéra d’Espagne- experts formateurs en construction écologique écodome. Il s’agit de la réalisation d’une maison verte « Ihrir oasis ». La région déjà riche et célèbre par ces atouts touristiques. Le souhait de l’association est de mener avec succès une transition écologique et sociale.
Dans un document transmis à notre rédaction, l’association souligne : « Située sur le plateau du Tassili a 200 km entre Illizi et Djanet l’oasis d’Ihrir a longtemps été un pôle touristique délaissée, La précarité de ses quelques familles était aggravée par le manque d’activité économique qui poussait les hommes à aller travailler à Illizi, Djanet ou In Amenas ». Néanmoins avec ce projet, le cadre de vie va connaître un changement sur tous les plans aussi bien économique que social, mais aussi touristique et culturel car le projet conçoit de mettre en valeur ce lieu « Ihrir » considéré comme « un trésor est caché dedans ».
Déjà « en 2017, en concertation avec les habitants l’association l’aedd décide de réagir. Elle se met à chercher des solutions pour dynamiser cette oasis et y assurer l’autonomie alimentaire d’où le «Projet du Aménagement, randonnée pour accueillir des randonneurs». Le document fait remarquer aussi qu’une action pareille sera aussi développée dans d’autres endroits laissés à l’abondant comme a Aharhar.
Projet du centre expérimental dédié à la nature et aux enfants d’Ihrir », lit – on dans ce document qui consiste aussi en la mise en valeur d’un ecoparc. Ainsi, des activités et formation sont lancées, programmées dont « Stage de formation à la permaculture, mise en place et l’accompagnement des familles qui voudront, adapter. Le document note que « cette forme de cultures qui mélange différentes techniques est inspirées de la nature ». L’adhésion des familles a permis de mettre en place « un plan d’action pour les former à ce mode de culture par des experts (ingénieurs agronomes) pour acquérir les bases théoriques et pratiques.
Dans ce projet, la femme a été mise en évidence par la création de leurs coopératives. Cela, a-t-on pu lire, « permettra d’assurer une certaine abondance dans la production alimentaire et pour générer des revenus pour ces femmes. Tout un développement sera mis en place par l’Aedd pour développer de nouvelles filières afin de valoriser les produits de leur terroir. (Bio) ». D’autres initiatives pour les femmes seront mises en place telle que le recyclage dynamique sera lancée avec une étude et des formations également. L’objective est d’atteindre une phase d’éco-touristique, qui se fera à partir de l’idée de la maison verte Ihrir oasis. Dans ce contexte « il est question du lancement des circuits écologiques en collaboration avec les habitants Aménagement, randonnée pour accueillir des randonneurs ». Le document fait remarquer aussi qu’une action pareille sera aussi développé dans d’autres endroits laissés à l’abondant comme a Aharhar.

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