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Même en congé, le sacrifice vaut le coup

Le dernier mouvement des chefs de cours n’a pas laissé de répit aux responsables qui donnent l’exemple en restant sur place, reléguant aux calendes grecques les vacances annuelles ? C’est pour plus tard ! Ce sera lorsque le travail sera bien entamé, redressé, ajusté.
Dans les quatre coins du pays, de Tébessa à Tlemcen, et passant par Tissemssilt jusqu’à Tamanrasset, et Tindouf, le mot d’ordre est placé sous le signe du travail sérieux. Avec tout ce qui se passe dans le pays, il n’y a plus de place pour les retardataires, les tire-au flanc et autres qui demandent encore à réfléchir.
A vrai dire, le plus gros des défis est celui qui met en présence les magistrats et les malfaiteurs de tous bords. Et ne croyez surtout pas que les bandits et voleurs se trouvent seulement à Alger. Oh, non, mais alors pas du tout.
A tous les niveaux, les détournements, les malversations et autres trafics en tous genres se trouvent un peu partout dans le pays.
Dans le dernier des villages où se trouvent des unités commerciales ou économiques, les enquêtes donnent des frissons. Et qui dit parquet, dit fatalement police judiciaire qui doit suivre le rythme imposé aux mouvements. Et du travail, il y en a ! Pénible, mais exaltant lorsqu’on sait que les efforts déployés, le sont pour la bonne cause.
Le parquet ficelle les dossiers et les file aux juges du siège, qui sont seuls maîtres à bord, avec, d’une main, l’inculpation ou l’accusation et de l’autre, la présomption d’innocence.
Au milieu des vagues, se démènent les vaillants avocats qui vont jusqu’au fond, pourvu que les procédures soient au niveau espéré. Tout ce décor est posé afin que justice soit rendue dans le plus strict respect de la loi, la seule loi !
A propos de mouvement des chefs de cour, précisons que le nombre de postes spécifiques étant limité, les autres méritants, attendront d’autres occasions pour faire leurs preuves, comme l’ont fait avant eux, Hamid Tahir, celui qui s’est payé au tribunal de Chéraga, toute l’instruction du dossier « El Khalifa », Kamel Ghezali de la chambre d’instruction, de Sidi M’Hamed – Alger, puni pour avoir « osé » en obéissant à sa seule conscience.

De Quoi j'me Mêle

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