{{ temperature }}° C / {{ description }}

Cité introuvable.

Lutte contre les MTH

57 cas ont été enregistrés et répartis entre les communes de Taghzout, Lakhdaria et Haizer.

Parce que l’été reste la saison des risques en matière de maladies à transmission hydrique et autres épidémies, la wilaya a comme chaque année pris les devants à travers une réunion de mise au point. L’ensemble des acteurs ont participé à la réunion présidée par le secrétaire général de la wilaya. Ainsi, la Duc, la santé, la Protection civile, l’environnement, les ressources en eau, l’Ona, les bureaux communaux de la santé… ont été associés au regroupement qui a retenu à son ordre du jour la mise à niveau des mesures préventives et de lutte contre les MRH et les zoonoses. La direction de la santé et concernant la période entre le 1er janvier et le 30 mai de l’exercice actuel a enregistré 57 cas répartis entre la commune de Taghzout avec 17 cas, Lakhdaria avec neuf et Haizer neuf cas. La totalité des cas selon le rapport de la direction de la santé est à mettre à l’actif d’une eau polluée et du manque d’hygiène. Les mesures préventives engagées jusqu’à maintenant sont le traitement des points d’eau susceptibles d’etre à l’origine du mal. L’environnement et l’entreprise Nadhif aussi ont retenu un programme de nettoyage et d’entretien des points noirs, foyers pour les maladies transmissibles par voie animale. Une instruction particulière a été ordonnée pour les communes qui continuent à s’alimenter à partir de forage. Une surveillance permanente doit être effectuée pour pallier toute mauvaise surprise. Tout le monde a en tête la panique qui avait caractérisé la wilaya de Bouira l’année dernière quand des rumeurs faisaient état d’une épidémie de choléra dans la région de Raouraoua, daïra de Birghabalou à l’ouest de Bouira. Toujours dans cette nette volonté d’éviter des catastrophes, les abattoirs feront l’objet d’une permanente surveillance. La même instruction concerne aussi les décharges à travers les 45 communes de la wilaya. Un appel est lancé dans ce cadre aux promoteurs privés pour investir dans le traitement des déchets. Parce que la pollution est souvent le résultat du rejet des déchets industriels, la wilaya a réactivé les commissions compétentes en la matière et qui a inspecté quatre unités productrices dans la zone industrielle ainsi que 21 unités implantées dans les zones d’activité en plus des unités Enad, la cimenterie de Sour El Ghozlane et Enap de Lakhdaria.

De Quoi j'me Mêle

Placeholder

Découvrez toutes les anciennes éditions de votre journal préféré

Les + Populaires

(*) Période 7 derniers jours