{{ temperature }}° C / {{ description }}

Cité introuvable.

Prévalence du diabète en Algérie

Les chiffres qui font peur

Pour sa 9ème édition, la Fédération internationale du diabète (FID) a tiré la sonnette d’alarme en termes de prévalence du diabète et ses nombreuses complications. En effet, le diabète, type 1 et type 2, (DT1-DT2), diagnostiqué ou non, a plus que doublé en passant, chez les personnes adultes, de 151 millions de cas (4,6 % ) en l’an
2000, à 463 millions d’individus (9,3%), en 2019. Ce constat mondial, pour le moins alarmant, prévoit que 578 millions de personnes (10,2%) seront atteintes d’ici 2030 par cette pandémie si aucune mesure appropriée n’est prise pour y faire face. Ce nombre inquiétant passera à 700 millions (10,9% ) d’ici 2045. En Algérie, et selon l’enquête nationale réalisée entre 2016/2017, la prévalence du diabète est de 14,4 %. A partir de ce double constat, une conférence de presse a été organisée, hier, à Alger pour informer sur la prise en charge du diabète en Algérie où seul l’analogue humain du GLP61 (Liraglutine) a obtenu une autorisation de mise sur le marché, ce, depuis plus de cinq ans. Il faut souligner que ce médicament se trouve toujours en attente de son «remboursement» par les caisses d’assurances - maladie civiles, cela, même si le «Liraglutine» (analogue du GLP-1) représente une option thérapeutique «coût-efficace» avant même l’instauration d’une insulinothérapie, chez les personnes atteintes du DT 2 . A. A.

De Quoi j'me Mêle

Placeholder

Découvrez toutes les anciennes éditions de votre journal préféré