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L’action des partisans de l’abolition de la peine de mort

La peine de mort fera parler d'elle jusqu'à la fin des temps. Les conditions de discussions sur ce projet que l'on arbore une fois l'an et encore, dépend du pays, de la personne condamnée et de la personnalité du condamné. Du pays d'abord, la peine de mort est un sujet tabou lorsqu'on l'évoque hors des States. Pour les Yankees, cela dépend de l'Etat, car chaque State a ses propres convictions, ses propres lois.
Au Texas, par exemple, c'est un devoir et un honneur de prononcer la peine de mort, et surtout une fierté de l'exécuter. Ailleurs, dans le monde, les USA barrent la route à certaines exécutions, la politique faisant foi...
Il est vrai que l'ensemble des barreaux est semble-t-il, unanimement contre la peine de mort, mais, ces derniers ne peuvent absolument rien faire sans la bénédiction des Yankees qui jouent pourtant, et cela souvent, à «qui perd gagne»! Autant, ils l'appliquent dans plusieurs Etats de l'Union, autant, ils s'opposent à d'autres Etats dans d'autres continents! L'esprit du «sheriff» règne en maître à travers la planète.
La loi du plus fort continue de menacer l'indépendance des prises de décision des autres Etats, à moins que sa seigneurie «Covid-19», ne change la donne, car dorénavant, chaque Etat est obligé de s'occuper de sa population souvent livrée à elle-même, et donc poussant le pouvoir en place à chercher les voies et moyens de survie.
Il est certain qu'en 2040, le sujet sera toujours d'actualité parce que les esprits «carrés» seront toujours là, les mentalités rétrogrades, aussi. Le système a fait que les avocats du monde entier, dans leur ensemble, ont été poussés vers la sortie pour ne laisser la place qu'aux partisans de la peine de mort.
Les nombreux stages effectués par les organismes puisant leurs forces d'avocats formés sur ces matières, tels la discrimination raciale, violation des droits-minimum, aider au maximum les avocats débutants dans les couloirs de la mort, à éviter les erreurs décisives au moment clé de la procédure, dans la mesure où, dans certains pays, les plus avancés soient-ils, l'assistance d'un avocat se trouve elle-même limitée. Maître Julie Goffin, coordinatrice des droits de l'homme de l'Union iInternationale des avocats, à Bruxelles (Belgique) avait, au cours d'un side-event, tenu il y a près de 21 mois, fait appel à une résolution «qui interpellait les Etats à prendre en compte, en particulier, les droits de ce type de détenus en termes d'assistance légale d'accès aux soins de santé, de protection contre toute forme de torture, et notamment dans le cadre de l'obtention d'aveux...»
On parlera longtemps de la peine de mort, de ses victoires ou de ses échecs, mais chacun de son point de vue!

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