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Au sujet du rapport britannique et des troubles sociaux en Algérie

Vérité sur une grosse manip de Rabat

Face à la pandémie du coronavirus, l’Etat narcotique vacille, les caisses du royaume se vident et le Makhzen a recours à la subversion de masse. Des campagnes de désinformation, d’insultes, sont orchestrées au plus haut niveau de la hiérarchie du pouvoir au Maroc.

Sans répit, les attaques médiatiques marocaines contre l'Algérie ne veulent pas cesser. On l'a compris, notre voisin de l'Ouest, foncièrement belliqueux, a définitivement opté pour une stratégie de harcèlement permanent quitte à débourser des fortunes en millions de dollars pour les besoins d'un lobbying anti-algérien.
La dernière salve en date nous vient d'un rapport attribué au cabinet britannique Verisk Maplecroft spécialisé dans la gestion de risques. Le rapport en question «révèle» que l'Algérie fait partie des
37 pays économies jugées «à plus haut risque» qui, connaîtront prochainement des troubles sociaux. Il s'agit entre autres, de l'Iran, le Bangladesh, l'Algérie, le Pakistan et
l'Égypte... Le palais se saisit de ce rapport comme d'un trophée de guerre et en fait une très large diffusion sur les réseaux sociaux. Ainsi donc, l'Algérie est morte et enterrée, il ne manquera plus que de jeter une pelletée de sable. Quelle aubaine pour le Maroc aveuglé par une jalousie maladive qui le prive de tout discernement! Or, une simple recherche a permis de découvrir le pot aux roses. Il s'agit en réalité d'une grosse manipulation savamment orchestrée par le Makhzen: le cabinet britannique n'a fait que reprendre des données de l'agence Ecofin dont les actions sont détenues à 90% par le Maroc. Ecofin a été fondée en 2010 à Genève et spécialisée sur les économies africaines. Faut-il s'étonner alors pourquoi les médias marocains ont été les premiers à accéder à ce « rapport»? L'Algérie a toujours servi d'alibi au dirigeant marocain pour cacher la misère dans laquelle il maintient son peuple.
Les relais du Makhzen n'ont rien vu ni entendu quand le roi Mohammed VI offrit une portion de 45 000 m2 des territoires marocains au roi d'Espagne. De même qu'ils passent sous silence les véritables raisons qui ont conduit à la fermeture de huit grandes villes marocaines, une mesure annoncée, après coup, par les autorités royales comme étant une mesure de confinement supplémentaire. Mais faut-il se réjouir des malheurs d'un peuple voisin? Le Maroc le fait et il s'en réjouit. Enragé pour nuire à la bonne réputation de l'Algérie en s'appuyant sur différents lobbies toxiques qu'il rémunère monnaie sonnante et trébuchante, quitte à affamer son peuple. L'impact économique négatif de la crise sanitaire provoquée par la propagation du coronavirus n'a pas touché uniquement le Maroc ou l'Algérie, mais la planète entière. Or, pour atténuer les dramatiques conséquenes de cette crise, l'Algérie n'a pas crié à la menace marocaine. Elle a pris des mesures sociales concrètes. Le président Tebboune, a instruit le Premier ministre de prendre, avec un effet immédiat, des mesures en faveur des petits métiers en leur allouant une aide financière d'une valeur de 30 000 DA pendant une période de 3 mois. La décision a été prise dimanche lors de la réunion périodique du Conseil des ministres, consacrée, notamment à l'impact de la pandémie de coronavirus (Covid-19) sur l'économie nationale et la situation sanitaire dans le pays.
Face à la pandémie qui bouleverse la planète, l'Etat narcotique vacille, les caisses du royaume se vident et le Makhzen a recours à son arme préférée: la subversion de masse. Des campagnes de désinformation, d'insultes et d'invectives sont orchestrées au plus haut niveau de la hiérarchie du pouvoir au Maroc. Il a tant misé sur le chaos et la débandade économique en Algérie, mais cela a fait pschitt.

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