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Produits forestiers

Un gisement renouvelable

Pour une amélioration des populations riveraines forestières de quatre wilayas pilotes.

Le développement des microentreprises forestières basées sur le pin pignon, le caroubier et le romarin a été, hier, au centre des travaux initiés par l’Organisation des nations unies pour l’alimentation et l’agriculture (FAO) sous l’égide du ministère de l’Agriculture et du développement rural et de la Pêche (Madrp) par la voie de la direction générale des forêts (DGF). A travers ces ressources diverses que sont les produits forestiers non ligneux (Pfnl), dont une importante population est tributaire, la forêt mérite et doit jouir d’une meilleure gestion et exploitation afin d’augmenter les revenus des populations concernées, rurales et autres, tout en participant à un management durable des ressources de cet énorme patrimoine naturel qui fournit des biens et des services considérables tout en contribuant à l’amélioration des conditions de vie des populations rurales, notamment riveraines. A cet effet, Mme Khadra Achour, coordinatrice des travaux, a présenté, hier, devant une assistance nombreuse, la situation du projet national de valorisation des Pfnl. Diverses autres interventions, sur le thème de valorisation, ont été effectuées par les représentants des quatre wilayas pilotes, à savoir Mostaganem, Khenchela, Blida et Constantine. Cet atelier s’est consacré, hier, à la valorisation des produits forestiers à travers la validation du rapport juridique établi par un expert international de la FAO recruté dans le cadre d’un projet de coopération FAO-Algérie. Ce groupe de travail a réuni les représentants de la direction juridique du Madrp, les représentants de la FAO, les cadres de la direction générale des forêts, les conservateurs des forêts des quatre wilayas pilotes. Se sont joints, à ce panel de professionnels, les porteurs de projets de ces quatre wilayas, le génie rural, et autres instances nationales dont notamment des représentants des douanes, de la Gendarmerie nationale de la Sûreté nationale, des Instituts de recherche (Inrf et Inraa) et ceux de l’Ecole supérieure des industries agroalimentaires.
Il a été constaté, ont regretté les intervenants, que l’exploitation des Pfnl a «stagné», faute d’un cadre organisationnel à mettre en place dans les meilleurs délais. En effet, les usagers de la forêt rencontrent moult problèmes de gestion, administratifs et autres, pour transformer et commercialiser les Pfnl qu’ils récoltent.
Devant la loi, qui est universelle dans ce domaine, notamment avec la mondialisation, il a été préconisé la création d’un nouveau cadre professionnel à but lucratif propre à l’exploitation des Pfnl.

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