{{ temperature }}° C / {{ description }}

Cité introuvable.

Procès reportés

Tabbou renvoyé au 16 novembre

Le tribunal de Koléa a rejeté la demande de levée du dispositif de contrôle judiciaire.

Le coordinateur du parti de l'Union démocratique et sociale (UDS), Karim Tabbou, restera sous contrôle judiciaire. Le tribunal de Koléa a rejeté la demande de levée du dispositif de contrôle judiciaire. Le procès du militant et politique, Tabbou, a été renvoyé à l'audience du 16 novembre prochain. Avec cet ultime report, la présidente de l'audience vient d'annoncer le renvoi dudit procès pour la sixième fois consécutive. Le prévenu est poursuivi pour atteinte au «moral de l'armée». Les audiences programmées précédemment ont été reportées, à la demande du collectif de défense de l'accusé, le dernier renvoi décidé par le tribunal remonte au 14 septembre dernier. Le parquet du tribunal de Koléa avait renvoyé l'affaire devant le juge d'instruction qui a ordonné, le 11 septembre 2019, le placement en détention provisoire de Karim Tabbou qui a été arrêté le 12 septembre 2019. La chambre d'accusation de la cour de Tipasa avait décidé, le 25 septembre 2019, de placer l'accusé sous contrôle judiciaire et ordonné sa libération. La magistrate a motivé sa décision par «l'impossibilité de statuer sur une procédure décidée par la chambre d'accusation à l'encontre de Karim Tabbou», annonçant en outre, que la justice entamera, le 16 novembre prochain, le procès, étant donné, a-t-elle ajouté, que l'audience d'hier lundi, est le dernier renvoi décidé par le tribunal. Arrêté la première fois le 11 décembre 2019, Karim Tabbou a été libéré le 25 du même mois. Il a été arrêté de nouveau le 26 septembre et placé sous mandat de dépôt par le tribunal de Sidi M'hamed. Il a été condamné en première instance, le 11 mars dernier, par le tribunal de Sidi M'hamed à une an de prison ferme dont 6 mois avec sursis. Lors de son procès en appel du 24 mars dernier, programmé, à la surprise générale, à la cour du Ruisseau d'Alger, alors que les avocats de la défense n'avaient pas été informés, il a été condamné à un an de prison ferme. Il s'agit d'un appel interjeté par le procureur de la République du tribunal de Sidi M'hamed d'Alger au verdict de la relaxe de Karim Tabbou prévue le 25 mars 2019. Avec cette condamnation, Tabbou a attendu 6 mois supplémentaires pour sortir de la prison de Koléa.

De Quoi j'me Mêle

Placeholder

Découvrez toutes les anciennes éditions de votre journal préféré