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Polémique dans l’enseignement supérieur

Plus de stages chez les voisins !

Tous les stages de courte durée et de mobilité programmés pour la Tunisie et le Maroc sont annulés.

Depuis que le ministère de l’Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique a publié la décision de l’annulation des stages de courte durée à l’étranger, une polémique s’est déclenchée !
Cette décision n’est pas passée inaperçue. Sur les réseaux sociaux, les uns et les autres se demandent sur quelle base la tutelle a pris cette décision et pourquoi le choix s’est porté sur le Maroc et la Tunisie ?
Le département de Tayeb Bouzid a adressée une instruction aux chefs d’établissements universitaires, en leur demandant d’annuler, avec effet immédiat, tous les stages de courte durée et de mobilité programmés pour la Tunisie et le Maroc.
Le ministère a, en outre, exigé de recevoir les rapports de stages des années 2017 et 2018 dans un délai n’excédant pas une semaine.
« Le directeur de la coopération et des échanges au ministère de l’Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique, Arezki Saïdani, a exigé de tous les établissements, des rapports détaillés sur les résultats des stages effectués en 2017 et 2018 en Tunisie et au Maroc », selon une source proche de la tutelle.
La même source indique que « les rapports doivent mentionner l’impact sur la pédagogie et les effets induits par ces stages ».
D’autres points ont été aussi relevés, notamment l’amélioration de curriculum, le développement des diplômes conjoints, le développement des projets multilatéraux, le transfert d’expériences, l’ouverture de nouveaux domaines des savoirs, des connaissances et des compétences spécialisées.
Ce n’est pas tout, puisque le responsable exige également des rapports de ces stages sur les publications conjointes, les publications sur les revues internationales, les chapitres dans les livres internationaux et le développement d’axes de recherches sur les domaines pertinents. Contacté par nos soins, un enseignant à la faculté de sciences politiques et relations internationales, (Itfc), nous a indiqué, sous le couvert de l’anonymat, que cette décision est un non-évènement. Pour lui, la majorité des demandes se font pour la France, l’Egypte, la Jordanie et d’autres pays européens.

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