{{ temperature }}° C / {{ description }}

Cité introuvable.

Transport en commun en pleine crise sanitaire

Les bus privés posent problème

Pas de distanciation sociale, les bus sont pleins à craquer et sans mesure d'hygiène...

Le transport en commun a certes été un facteur qui a favorisé le terrain au Covid-19 pour se propager un peu plus. Ce virus, qui continue de faire des victimes, s'inscrit dans la duréeè. Mais si des chauffeurs de bus, notamment privés ne prennent pas les dispositions qu'il faut en ignorant les gestes barrières, ce n'est pas le cas pour d'autres, à l'image des chauffeurs de tramways. Celui de Constantine et à l'instar d'autres tramways des autres villes, tout a été étudié. Sa reprise de service a été lancée, selon les nouvelles mesures, pour freiner la propagation de ce virus. Port de la bavette obligatoire, distanciation sociale entre les usagers et utilisation du gel hydro-alcoolique. Des gestes auxquels le citoyen s'est habitué.
Des gestes qui sauvent et préservent la santé publique. Malheureusement, ce n'est pas le cas pour les transporteurs comme souligné plus haut; les transporteurs privés qui cherchent plutôt a gagner plus d'argent qu'à préserver leur santé et celle des autres. Pas de distanciation sociale, les bus sont pleins à craquer, aucune mesure d'hygiène et même le port de la bavette est très peu respecté. C'est ce qui a encouragé la propagation du virus. Pourtant, le gouvernement a permis en effet «la reprise à travers l'ensemble des wilayas du pays, des activités de transport urbain en Algérie de voyageurs par bus et par tramway», mais, «sous réserve du respect des règles de prévention. Parmi ces règles, «l'interdiction l'accès aux moyens de transport urbain des voyageurs, sans le port du masque de protection. Doter les sièges de housses ou de films en plastique facilitant les opérations de désinfection, Prévoir une paillasse de désinfection, l'ouverture des fenêtres et autres dispositifs d'aération naturelle». Pour les bus, «limiter le nombre de voyageurs aux seules places assises, mettre à la disposition des voyageurs des produits désinfectants (gels hydro-alcooliques...), soumettre le moyen de transport à une opération de nettoyage et de désinfection à la fin de chaque trajet, prévoir des dispositifs de désinfection dans les gares.
Organiser les impératifs de la distanciation physique au niveau des gares et stations». Néanmoins, sauf si on parle du tramway et des bus de transport étatique, les moyens de transport privés ne respectent pas ces règles. Ils ne sont pas contrôlés et agissent en toute quiétude; là est le vrai problème. L'absence de contrôle, comme dans tous les autres pays depuis un bon moment, encouragent ce genre de pratique. 

De Quoi j'me Mêle

Placeholder

Découvrez toutes les anciennes éditions de votre journal préféré

Les + Populaires

(*) Période 7 derniers jours