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16es journées nationales sur la psychiatrie

Le sport encore marginalisé

Les médecins ne considèrent pas encore l’activité physique comme un moyen de guérison ou bien même d’amélioration de l’état des patients.

Le sport est encore un vecteur marginalisé dans le processus de traitement des pathologies psychiques dans les hôpitaux. Les médecins ne considèrent pas encore l’activité physique comme un moyen de guérison ou bien même d’amélioration de l’état des patients. Ce constat a été soulevé par le professeur Ziri, responsable de la DSP qui intervenait à l’ouverture des Journées nationales de la psychiatrie qui se sont tenues jeudi au niveau du CHU Nédir Mohamed de Tizi Ouzou. L’orateur aura également fait part de la bonne nouvelle de la réapparition de la Revue de la psychiatrie de l’association des psychiatres du Djurdjura. Le périodique a, pour rappel, disparu de la circulation ces dernières années.
Après l’ouverture de cette rencontre éminemment scientifique, des spécialistes de plusieurs domaines relatifs à la psychiatrie se sont relayés pour présenter des communications très intéressantes. D’ailleurs, vu l’importance des thèmes traités, le professeur Ziri et non moins spécialiste du domaine de la psychiatrie a annoncé que les communications vont faire l’objet de publication dans un proche avenir. Plusieurs séances ont donc été consacrées aux intervenants qui ont abordé des thématiques d’actualité dans le domaine. « La psychiatrie au carrefour des connaissances » est donc le thème de la première communication présentée par le professeur Ziri Abbès, les docteurs S. Seklaoui et Sofiane Zeggane. Ces derniers, après avoir présenté leur conférence, ont cédé la place aux docteurs Chenaoui Metidji, Bezari et le professeur Bencharif du service de psychiatrie légale à l’hôpital de Blida. Ils aborderont le concept d’héboïdophrénies. Les docteurs Saïdène, Hafnaoui, Tirache et le professeur Nedjari, venus de l’ESH Drid Hocine d’Alger, traiteront dans leur communication la dimension négative dans les psychoses précoces. En fin de séance matinale, ce sont les docteurs Kheireddine, le professeur Madoui de l’EHS de Constantine qui ont abordé le thème de l’anxiété au cours de la schizophrénie. Dans l’après-midi, les intervenants se sont penchés sur de nombreux sujets qui traversent actuellement le domaine de la psychiatrie à travers le monde. Les professeurs Boualssel et les docteurs Si Hadj Oualouche, Adjelout, Ould Abdeslam, Mizab, Sadallah, Igui, Daf, Sadat et Sini du service de médecine légale du CHU de Tizi Ouzou traiteront du thème de la schizophrénie et le passage à l’acte violent en pratique médico-légale. Les docteurs Sayad et le professeur Bensaïda de Annaba feront le relais pour parler des liens entre le volume de la matière grise dans les lobes temporaux et le polymorphisme génétique dans la schizophrénie liée à la littérature. Docteur Abassi, docteur Tizi, docteur Aït Mebarek et le professeur Fladja de Béjaïa s’interrogeront, eux, sur la prise en charge d’un cas comme épisode de psychose précoce.

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