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Convention sur l’interdiction des armes chimiques

Le rôle pionnier de l’Algérie

Ce séminaire, qui s’étalera jusqu’au 26 septembre, est animé par des experts de l’Organisation pour l’interdiction des armes chimiques.

Les travaux d’un séminaire sur les aspects liés à la mise en oeuvre de l’article VI de la Convention sur l’interdiction des armes chimiques se sont ouverts, hier, à Alger, dans le cadre de la coopération et de l’échange d’expériences entre le ministère de la Défense nationale et l’Organisation pour l’interdiction des armes chimiques (Oiac), indique le MDN dans un communiqué.
Les travaux de ce séminaire, qui s’étaleront jusqu’au 26 septembre au Cercle national de l’armée à Béni Messous, «ont été inaugurés, au nom du général de corps d’armée, vice-ministre de la Défense nationale, chef d’état-major de l’Armée nationale populaire par le général-major Abdelhamid Ghriss, secrétaire général du ministère de la Défense nationale, en présence des officiers généraux de l’Armée nationale populaire, où il a mis l’accent, dans son allocution d’ouverture, sur le rôle pionnier de l’Algérie dans l’application de la Convention sur l’interdiction des armes chimiques».
«Membre du conseil exécutif, depuis l’entrée en vigueur de la convention, en 1997 jusqu’à ce jour, l’Algérie a œuvré durant toute cette période, à une application rigoureuse de la Convention et milite pour la promotion et le renforcement de la position de l’Afrique au sein de l’Organisation, en défendant vigoureusement les intérêts et les préoccupations de notre continent, dans le cadre de l’universalité de la Convention, et c’est dans cet esprit que l’Algérie a organisé plusieurs activités dont, tout récemment, un séminaire régional sur la sûreté et la sécurité chimiques», précise la même source.
Ce séminaire, qui se déroulera sous forme d’ateliers et d’exercices pratiques animés par des experts de l’Oiac, a pour objectif «la sensibilisation des acteurs nationaux quant aux bonnes pratiques suivies et aux nouvelles approches adoptées, qui contribueront au renforcement du cadre législatif et réglementaire lié à l’application des obligations de l’article VI de la Convention d’interdiction des armes chimiques et aussi à la création d’un cadre de concertation et de coordination au niveau national, permettant de réduire et d’éviter le risque d’utilisation malveillante ou abusive de produits chimiques ciblés par la Convention», conclut le communiqué.

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