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Carnet de campagne / Benflis à Relizane et Aïn Témouchent

«Le discours de la haine favorise la discorde»

Pour le candidat Ali Benflis, la haine «ne servira pas l’Algérie, bien au contraire, elle risque de l’engouffrer dans une spirale de crise incontrôlable».

Le candidat à l’élection présidentielle, Ali Benflis en l’occurrence, a fait une visite dans le cadre de sa campagne électorale à la wilaya de Relizane et Aïn Témouchent. Lors de ses deux meetings populaires dans ces deux wilayas précitées, la candidat à fait allusion à un élément essentiel qui caractérise la situation politique du pays, à savoir des agissements et des actes qui attisent la haine et la discorde.
Pour le candidat Ali Benflis, la haine « ne servira pas l’Algérie, bien au contraire, elle risque de l’engouffrer dans une spirale de crise incontrôlable », a-t-il insinué.
Abondant dans le même sillage, Ali Benflis a rappelé sa position intangible depuis l’apparition de la crise que traverse le pays que «la solution politique et l’issue à la crise dans laquelle se trouve le pays, résident dans l’élection présidentielle et non pas dans l’alimentation de la haine et d’attiser la discorde qui ne sont pas bénéfiques pour le pays et son peuple», a-t-il indiqué lors de ses deux meetings populaires à Relizane et Aïn Témouchent.
Le candidat Benflis a en outre fait allusion d’une manière feutrée à la dernière déclaration du ministre de l’Intérieur et des Collectivités locales, Salaheddine Dahmoune en appelant les Algériens à ne pas «se livrer à ce jeu d’insultes et la diffusions de la haine. Je ne suis pas celui qui verse dans l’insulte et profère des propos haineux, je veux être un président rassembleur, un président qui travaillera en direction de la majorité du peuple algérien dans la perspective d’entamer un vrai dialogue national pour sauver le pays et permettre au peuple de réaliser les objectifs de l’Etat de droit et la société des libertés», a-t-il tempêté.
Dans le même sillage, Ali Benflis a abordé le thème de la corruption qui a gangrené les institutions de l’Etat et qui a cassé les ressorts de la société en déclarant. «Je ferai en sorte que le fléau de la corruption qui a pris une ampleur dangereuse, soit combattu avec fermeté et vigueur et rendre au peuple l’argent public et le distribuer avec équité au service de l’intérêt national du pays et du peuple algérien», a-t-il mentionné.
De l’autre côté, le candidat à l’élection présidentielle du 12 décembre prochain, Ali Benflis, a réitéré son engagement à réaliser ses promesses telles qu’énoncées dans son programme électoral en soulignant en la matière que «ma présidence sera celle des engagements pris pour entamer le changement du système politique.
Mon programme électoral est celui des urgences, mais l’urgence du changement politique des institutions de l’Etat, est une priorité majeure pour mettre en place des mécanismes d’une issue à la crise politique dans laquelle se trouve le pays», et d’ajouter «parmi les urgences qui s’imposent aussi, c’est la mise en branle du programme économique qui tiendra compte de la réalité du pays en favorisant l’économie de marché à caractère social.
Cela permettra de joindre et l’économique et le social pour répondre aux problèmes directs des citoyens algériens et des citoyennes algériennes», a-t-il précisé.

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