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Préservation des droits du citoyen

Lazhari chez le président Tebboune

Il s’agit de rétablir la confiance du peuple qui a appelé à la consécration des droits de l’homme dans tous les domaines, civil, politique, social et économique.

Au coeur de l'ensemble des chantiers, politiques, économiques et sociaux, la préservation des droits du citoyen a été le maître-mot du président de la République à travers toutes ses interventions publiques. Un point sur lequel l'Etat s'est montré intraitable, du fait que ce dernier est à l'origine de toutes les contestations qui ont marqué le pays ces dernières années.
Dans ce sillage, le président du Conseil national des droits de l'homme (Cndh), Bouzid Lazhari a affirmé à l'issue de la remise du Rapport annuel 2019 sur les droits de l'homme en Algérie au chef de l'Etat, que
«le président de la République est fortement imprégné de la culture de protection des droits du citoyen et de la conviction que la mission première de l'Etat est la préservation de ces droits». Un constat inévitable et soutenu par la concrétisation des promesses du président, notamment celles relatives a l'institutionnalisation du Hirak, du soutien aux franges démunies de la société lourdement affectées par la crise sanitaire, de la libération des détenus d'opinion et surtout, le lancement des réformes socio-économiques destinées à améliorer la situation des citoyens au quotidien. Dans ce sens, le président du Cndh n' a pas manqué de relever, les principales actions du gouvernement, «nous avons également constaté une forte volonté politique pour la consécration des droits de l'homme, notamment la liberté d'expression, l'indépendance de la justice, la liberté de constitution d'associations et la liberté de manifester pacifiquement dans le cadre de la loi et la préservation des fondements de l'Etat, et sur le Hirak béni originel qui revendiquait les droits de l'homme, des élections régulières et transparentes et l'éradication de l'argent sale». Des dossiers brûlants, qui ont été traités dans une conjoncture on ne peut plus difficile, mais qui marquent le passage à une ère où le peuple a été reconnu comme acteur à part entière, sur la scène politique et, notamment dans la prise des grandes décisions, comme cela va être le cas pour la révision de la Constitution, qui, en finalité donnera le dernier mot au peuple, à travers un référendum. Une évolution dans le système de gouvernance qui était à des millions d'années lumière, d'effleurer l'esprit des Algériens, dans un passé très proche. Il va sans dire, que le chemin pour arriver à un consensus national autour de la gestion des affaires du pays, est encore long et difficile, notamment lorsqu'on prend en considération les retards enregistrés à cause des effets de la pandémie de Covid-19. Il n'en demeure pas moins cependant, que face aux différents obstacles rencontrés, et devant la complexité de la situation, aggravée par les entraves induites par les multiples agressions sournoises de certaines parties que le président a qualifiées de «mains criminelles» dont le but n'était autre que celui de porter atteinte à l'image de l'Etat, notamment concernant le traitement de la crise sanitaire.

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