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Les unités militaires en alerte rouge

La tension monte aux frontières Ouest

Les chefs du département des signaux, des systèmes d'information et de la guerre électronique et de la Gendarmerie nationale se rendent à la 3ème RM.

Au moment où la tension monte au niveau des frontières Ouest entre le Front Polisario et l'armée marocaine, après que cette dernière a décidé d'enfreindre et de violer les résolutions onusiennes par son agression lâche, l'Algérie déclenché l'alerte générale à tous les niveaux frontaliers. Les unités militaires sont en état de guerre, prêtes à agir, à n'importe quel moment, à l'Est, Sud et Ouest. Par son action irréfléchie et protagoniste de sous-traitance, le Makhzen, pensant se détourner l'attention de l'ANP, en créant un foyer de tension et de pression. Les autorités militaires n'ont pas tardé à réagir. Deux visites importantes ont été effectuées, aussi bien par le chef du département des signaux, des systèmes d'information et de la guerre électronique, qui était en visite à la 3e Région militaire du 16 au 18 novembre, que le commandant de la Gendarmerie nationale, Noureddine Gouasmia, qui s'est déplacé les 17 et 18 novembre à la 3ème Région militaire pour inspecter ses unités, notamment les GGF. Les hautes autorités militaires se disent disponibles et prêtes à toute éventualité.
En voulant exhiber ses muscles immatures, avec une démonstration de force contre un peuple opprimé, le Maroc s'est englouti dans une impasse dont il ne pourra pas sortir indemne, notamment par le fait qu'il s'est engagé à faire cette guerre par procuration. Se sentant visé par les exercices opérés par l'ANP, le Maroc, développant un complexe d'infériorité, s'est attaqué à un peuple sans défense. Il a toujours eu un mauvais oeil sur l'avancée de l'Algérie en armement, mais aussi sur la disponibilité des unités militaires. Il s'agit d'une provocation inintelligente, car la question que l'on se pose est: le Maroc a-t-il assez de courage pour libérer ses terres colonisées par l'Espagne, Ceuta et Mellila? Comptant sur ses alliés, Mohammed VI veut à tout prix imposer «sa» solution au problème saharoui. Néanmoins, désavoué par la résolution du Conseil de sécurité, le Maroc est dans une véritable «impasse». En effet, la recommandation onusienne de négociation directe entre le Royaume et la République sahraouie n'est pas pour arranger ses plans, d'autant que la légalité internationale n'est pas du tout à son avantage. Ainsi, coincé entre une Algérie qui a repris sa place naturelle de leader régional et des territoires occupés réclamant légitimement leur indépendance, Mohammed VI pourra-t-il compter sur ses alliés pour sortir sa tête de l'eau? Cela dit, l'ANP a pris toutes ses dispositions pour un développement de la situation à ses frontières. Ses détachements militaires sont prêts et décidés à intervenir.
Les moyens matériels et humains ont été dépêchés. Les forces aériennes sillonnent toute la région et des sources sécuritaires ont confié que le dispositif sécuritaire concerne toutes les bandes frontalières, au cas d'une tentative de diversion car cela en a tout l'air, puisque selon des informations, l'on compte sur des groupes terroristes pour frapper aux frontières Sud. Le complot a été décodé. Si le Maroc compte sur ses alliés, l'Algérie compte sur ses enfants. 

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