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Abdelkader Bensalah l’a signée, hier

La loi de finances 2020 paraphée

Les textes de cette loi se focalisent principalement sur la nécessité de rationaliser les dépenses publiques.

A la veille de l’élection du 12, le président par intérim, Abdelkader Bensalah, signe la loi de finances pour l’année 2020, lors de la réunion du Conseil des ministres qu’il a présidée, en présence des membres du gouvernement Bedoui. Il y’a lieu de signaler que les textes de cette loi se focalisent principalement sur la nécessité de rationaliser les dépenses. De nouvelles mesures ont donc été introduites dans le sens de la maîtrise des dépenses publiques et la réduction du déficit budgétaire. En septembre dernier, Noiureddine Bedoui avait déjà exposé les objectifs tracés dans l’application de la loi de finances 2020.
Rappelons que les députés de l’Assemblée populaire nationale (APN) avaient adopté le mois dernier, à la majorité, le projet de loi de finances PLF-2020, lors d’une séance plénière, présidée par Slimane Chenine, président de l’APN en présence de nombreux ministres.
Le projet de loi de finances (pour l’exercice 2020) a été élaboré dans le cadre du retour au processus budgétaire marqué par la rigueur consacrant la rationalisation et l’assainissement des ressources financières pour préserver les grands équilibres financiers et un taux d’inflation réduit, sans remise en cause du caractère social de l’Etat et des secteurs dits prioritaires, à leur tête l’Education nationale et la santé, a indiqué un communiqué du Conseil des ministres, mettant l’accent sur le soutien public en faveur des différentes catégories sociales en vue de préserver leur pouvoir d’achat, en veillant parallèlement au maintien d’un taux de croissance à même de sauvegarder l’activité économique et les postes d’emploi, et qui devrait s’établir en 2020 autour de 1,8% du Produit intérieur brut (PIB).
Abdelkader Bensalah avait affirmé que les prévisions budgétaires au titre de la loi de finances 2020 « maintiennent à un niveau élevé l’effort de l’Etat en matière de politique sociale, se félicitant de l’adéquation des mesures proposées aux efforts de rationalisation des dépenses publiques et de rétablissement des grands équilibres macroéconomiques, notamment celles visant la simplification des procédures d’imposition, l’amélioration des recettes fiscales, la maîtrise de l’importation de biens et services, la promotion de l’investissement, l’encadrement du financement étranger, la préservation de l’environnement, l’amélioration de l’efficacité énergétique et le développement de l’économie numérique.
Abdelkader Bensalah avait instruit le gouvernement pour l’adoption d’une « politique rationnelle dans la préparation du projet de loi de finances pour l’exercice 2020 », selon des sources gouvernementales.
Ce dernier a, par ailleurs, appelé les membres du gouvernement à ce titre, « à faire preuve de rigueur et de rationalité dans l’élaboration de la loi de finances 2020, sans porter atteinte à la politique sociale de l’Etat.
Bensalah avait déjà affirmé il y a peu, que les prévisions budgétaires au titre de la loi de finances 2020 « maintiennent à un niveau élevé l’effort de l’Etat en matière de politique sociale, se félicitant de l’adéquation des mesures proposées aux efforts de rationalisation des dépenses publiques et de rétablissement des grands équilibres macroéconomiques, notamment celles visant la simplification
des procédures d’imposition, l’amélioration des recettes fiscales, la maîtrise de l’importation de biens et services, la promotion de l’investissement, l’encadrement du financement
étranger, la préservation de l’environnement, l’amélioration de l’efficacité énergétique et le développement de l’économie numérique.

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