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Carnet de campagne / Abdelaziz Belaïd à partir de Tébessa et Guelma

«Des tribunaux internationaux pour la bande»

«Le problème de l’Algérie n’est pas la crise économique, car nous avons des richesses intarissables, et un peuple qui a besoin de leaders et d’une gouvernance transparente.»

Poursuivant son grand tour pour la campagne électorale dans les wilayas de l’Est du pays Abdelaziz Belaïd n’ a pas manqué de s’exprimer sur le procès des deux anciens Premiers ministres, estimant que «la bande doit être jugée dans les tribunaux internationaux et pas seulement en Algérie. Ils ont tué le peuple, ils ont poussé nos enfants au suicide». Sur le même élan, le président du Front El Moustakbal n’a pas hésité à accuser ce qu’il a qualifié de «parties influentes du sérail d’obstruer les élections».
Revenant sur le préjudice occasionné par l’ancien régime, Abdelaziz Belaïd rappelle qu’«ils ont fait de l’Algérie un enfer pour les citoyens et une risée parmi les nations, c’est pourquoi le 22 février le peuple a voulu défendre et garder sa dignité, à travers une contestation pacifique, qui a su éviter les pièges du chaos et préserver l’unité et la souveraineté du pays». Dans ce sens, le candidat du Front El Moustakbal a tenu à insister sur le fait que «le problème de l’Algérie n’est pas la crise économique car nous avons des richesses intarissables et un peuple qui a besoin de leaders et d’une gouvernance transparente».
Par ailleurs, de la ville de Guelma, où il a animé un meeting à la salle omnisports, Abdelhadi Chafai, Abdelaziz Belaïd est revenu sur les principaux axes de son programme assurant que «mon programme est simple et ne se repose pas sur de fausses promesses, que je ne pourrai pas tenir, mais je m’engage à être le serviteur de ce peuple, pour construire ensemble le pays sur des bases solides.
Pour cela, nous n’avons qu’une voie à suivre, celle de l’élection présidentielle, qui est une opportunité qui va nous permettre de sortir de ce tunnel». Dans ce sillage, le candidat à la magistrature suprême, a tenu à appeler les Algériens à se présenter en masse aux urnes le 12 décembre prochain, car «ce n’est que de cette façon, que nous pourrons faire face aux ennemis de l’Algérie, notre pays est riche, d’abord de son capital humain, qui est irremplaçable».
Dans ce contexte, Abddelaziz Belaïd assure que «la solution est entre les mains du peuple, qui est le seul à décider de son sort, d’élire un président qui sera à l’écoute et au service du peuple, et aura la dure tâche de libérer et d’ouvrir les horizons à tous les niveaux».

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