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Ressources minières

Des trésors inexploités

Il a relevé qu’ il était «pour la création d’un grand nombre d’associations qui œuvreront dans l’intérêt général et bénéficieront de subventions ».

En réponse aux questions des représentants de quelques médias, le chef de l’Etat Abdelmadjid Tebboune, a mis en avant « l’importance de construire une société civile à caractère d’utilité publique ». Il a réitéré, dans ce contexte, son engagement à rendre à la société civile son droit de participer à la gestion de la chose publique pour insuffler le dynamisme au sein de la société ».
Il a relevé, lors d’une entrevue avec des directeurs de publication de médias, diffusée dans la nuit de vendredi à samedi, « la nécessité pour la société civile de reprendre son droit dans la gestion ». Il a réitéré « son engagement dans ce sens depuis son élection à la tête du pays, le 12 décembre 2019 ». « Je me suis porté candidat à la présidence du pays au nom de la société civile et des jeunes. Je ne me suis pas porté candidat à ce poste ni par les hommes d’affaires ou autres ni au nom du parti auquel j’appartiens », a-t-il rappelé. La société civile se doit de reprendre les choses en main, a-t-il affirmé. Il a relevé qu’ « il était pour la création d’un grand nombre d’associations civiles qui œuvreront dans l’intérêt général et bénéficieront de subventions ». Ces associations couvriront plusieurs domaines tels que la défense des consommateurs, la santé, les étudiants et les porteurs de projets, a-t-il précisé, invitant toutes ces catégories à « s’organiser» dans le cadre de ces associations ». Insuffler le dynamisme dans une société passe par la société civile, a-t-il estimé, considérant que « la société civile est une chose et la partisanerie est toute autre ». Par ailleurs, Il a affirmé que « le pays regorgeait d’importantes ressources inexploitées, notamment des minéraux rares, dont l’Algérie occupe la troisième ou quatrième place dans le monde ». « L’Algérie dispose aussi de réserves en or, diamant, uranium, cuivre et bien d’autres », a-t-il dit, tout en indiquant que l’exploitation de ces ressources naturelles est programmée, il a fait savoir que « des cahiers des charges seront établis dans ce sens avec des banques d’affaires ». « L’exploitation de ces minéraux inexploités est une alternative aux hydrocarbures, en ce sens que la consommation locale d’énergie augmente à une cadence telle que les richesses pétrolières seront, dans quelques années, insuffisantes pour répondre aux besoins nationaux », a-t-il indiqué. « La véritable richesse de l’Algérie demeure sa jeunesse innovante qui a fait ses preuves durant cette crise sanitaire », a-t-il indiqué.

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