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Intox et dénigrement de l’institution militaire

Des «pétards mouillés» contre l’armée

Ces parties ont essayé toutes les manœuvres possibles et imaginables pour faire couler le sang des Algériens.

Depuis le début du Mouvement populaire, l’Institution militaire a pris la ferme décision de l’accompagner «jusqu’à la satisfaction de ses revendications» une posture qui n’a pas été du goût de certaines parties habituées à nager en eaux troubles. Ces parties ont essayé toutes les manœuvres possibles et imaginables pour faire couler le sang des Algériens, comme ils n’ont pas cessé de pousser l’armée à investir le champ politique. Leur entreprise a subi un cinglant revers, face à la détermination et à la vigilance du Commandement militaire. Catégorique, le chef d’état-major n’a pas cessé de le répéter dans tous ses discours et ses interventions : il n’est pas question pour l’armée de sortir du cadre constitutionnel et la crise sera gérée «sans qu’aucune goutte de sang des Algériens ne soit versée». L’Armée algérienne protège son peuple, ses institutions et refuse d’agir en dehors du cadre constitutionnel. Quelle déception pour ces agités du bocal ! Cette posture de notre armée qui impressionne le monde par sa légalité, leur donne l’urticaire. La campagne a pris tout son ampleur avec le début de la campagne anti-corruption ayant donné des résultats inimaginables. Des oligarques, des hommes d’affaires et des hommes politiques puissants, des ministres, des Premiers ministres jusque-là considérés comme étant des intouchables ont été arrêtés et placés en détention provisoire en attendant d’être jugés. Tout ce monde des affaires couplé au personnel politique jouit à ne pas en douter, de puissants réseaux agissant à tous les niveaux de la société. Ils sont capables de créer des situations de blocage, d’entraver des actions bénéfiques pour le bien des citoyens et de nuire à l’image du pays. C’est sans surprise donc, qu’ils redoublent de férocité à chaque avancée vers une sortie de crise. Avec l’annonce de la tenue de la présidentielle, le 12 décembre prochain, on assiste à une virulente campagne de déstabilisation et de désinformation contre l’Armée nationale populaire. On s’attend donc à toute sorte de manipulations de fake news, notamment sur les réseaux sociaux. Il n’est pas exclu que dans leur sale besogne, ils concluent des alliances les plus impossibles même avec les ennemis déclarés du pays. Ils manipulent tout, y compris les discours du chef d’état-major, dont ils ne retiennent que ce qui les arrange pour en faire des lectures influentes, erronées et complètement intoxicantes. Cette propagande qui n’est pas une stratégie nouvelle pour affaiblir les pays comme cela s’est fait en Syrie, vise à plonger le pays dans un vide constitutionnel, pourtant le Haut Commandement de l’ANP avait prévenu la population sur cette donne, en la mettant en garde contre tout appel à la violence lui rappelant «l’importance du prix payé par l’Algérie pour retrouver la paix et la sécurité et les liens indéfectibles qui unissent l’ANP au peuple algérien». Le vice-ministre de la Défense avait réagi à cette campagne dans l’un de ses discours en soulignant : «Les campagnes abjectes et récurrentes, que ne cesse de subir le Commandement de l’ANP, après chaque pas sincère et étudié qu’il fait en toute conscience et perspicacité, ne sont que des campagnes stériles sans aucun résultat, car leurs objectifs sont désormais dévoilés et leurs intentions démasquées. Le peuple algérien a découvert leurs objectifs pernicieux et leurs moyens perfides pour les étouffer dans l’œuf.» Dans cette campagne, les Algériens vont certainement être conscients et intelligents pour déterminer le chemin que prendra l’Algérie le 12 décembre prochain. 

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