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An I du Hirak

De l’art au Hirak

Ce qui a marqué la mémoire collective concernant le Hirak, mis à part l’engagement politique, c’est aussi l’expression artistique, puisque chaque manifestant y va de sa propre création ! En effet, l’art urbain a depuis le 22 février renoué avec son public de prédilection, à savoir les masses populaires. Il est vrai que durant longtemps cette forme d’art n’avait pas sa place dans l’espace public, si ce n’est dans les milieux les plus initiés. Et pour cause, il a été victime d’une large propagande calomnieuse faisant de cette expression un art indigne pour notre société conservatrice. Et pour cause, la transgression des règles est sa principale source d’inspiration. Le street-art appartient à la jeunesse des quartiers populaires, plus précisément aux supporters des clubs de foot, mais depuis le 22 février il s’est démocratisé. Se libérant ainsi de ses frontières imaginaires imposées de fait. Il a largement contribué à l’expression du peuple, de la jeunesse, traduisant de la manière la plus simple leur désir de liberté et d’émancipation. Très vite, les manifestants ont pris conscience, des avantages qu’offre cet art. C’est-à-dire faire de la ville une source d’inspiration, mais aussi un moyen de communication capable d’accompagner les revendications de la rue qui se veulent être synonymes de la liberté.

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