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Installés à l'étranger, ils s'attaquent à l'Algérie, sans retenue

Ces mercenaires offshore

Ils ont perdu la bataille, celle de présenter l'Algérie comme un pays vulnérable et une proie facile pour la transformer en un espace de no man's land.

Les provocations du Royaume marocain envers l'Algérie en jouant les trouble-fêtes à la frontière Ouest, et le non-respect de cessez-le-feu avec le Sahara occidental en faisant fi des résolutions des Nations unies en la matière, montrent on ne peut mieux que le Makhzen obéit à une logique de manipulation dont les tenants et les aboutissants dépassent les calculs myopes du royaume en proie à une crise sociale et économique des plus gravissimes.
L'expression sordide et machiavélique du Makhzen se fait élucider par la kyrielle d'agents et de mercenaires résidant à l'étranger qui se font passer pour des opposants algériens dont l'objectif est le changement du régime par des voies «pacifiques» comme cela est présenté par leurs sbires qui exploitent l'Internet pour bien charger l'Algérie et la présenter comme élément «belliqueux» à l'adresse du «magnanime» Royaume chérifien.
Les masques sont tombés, ceux qui se prétendaient comme groupe d'opposants à l'étranger, ne sont finalement, que des instruments de la propagande à la solde du Makhzen et ses prolongements d'outre-mer. Il est nécessaire de revenir aux dernières réactions de certaines nébuleuses qui s'attaquaient d'une manière violente et qui frise l'invraisemblable contre l'Algérie. La nébuleuse, qui est protégée par les services secrets des pays d'accueil, a grillé ses cartes en sortant de sa fausse peau de brebis pour montrer sa vraie nature de mercenaire et au service des officines étrangères.
Cette nébuleuse créée de toutes pièces par les puissances étrangères dans le but de semer le chaos et la dislocation de l'Etat national, vient de développer un discours qui cache mal son inféodation au Makhzen et, par ricochet, aux officines étrangères pour qui elle travaille. Les semblants opposants qui se disent algériens ont opté de concert pour un discours visant à transformer l'acte belliciste du royaume marocain en celui d'une victime potentielle, plus grave encore, cette nébuleuse qui fait dans le mercenariat au plus offrant à l'étranger, a accusé l'Algérie comme élément «agresseur» à l'encontre du Makhzen. Le scénario semble maintenant démasqué, surtout quand les sbires de cette nébuleuse trouvent l'alibi des plus funambulesques pour qualifier ce qui s'est passé à El guerguerat comme « une diversion du régime algérien pour détourner les Algériens du Hirak et l'exigence du départ du régime» (sic).
Les fantasmes de cette nébuleuse montrent s'il en est que cette dernière est prisonnière d'un agenda entretenu et tissé bel et bien par des officines étrangères, et exécuté par ces mercenaires ennemis de leur pays. Le comble de l'ironie, quand on présente le Makhzen comme un pays soucieux de la paix et des droits de l'homme, cela pourrait devenir hilarant, voire une risée même. Les mercenaires résidant à l'étranger et qui se disent algériens à part entière, n'ont jamais dénoncé la présence coloniale du Makhzen au Sahara occidental. Pis encore, ils insinuent d'une manière opportuniste que le conflit « a été fabriqué par l'Algérie, alors que le Sahara occidental n'est pas un conflit dont le Maroc est le responsable dans son éclatement», une manière de dire que le conflit du Sahara occidental ne devait pas y être. C'est-à-dire qu'il ne s'agit pas d'un processus de décolonisation, mais un «droit marocain».
La nébuleuse qui a fait de l'étranger sa base arrière, est dans une situation peu reluisante, surtout que ses manipulations via le Net et le monde virtuel ne font plus recette au vu de l'évolution de la situation en Algérie. Cette nébuleuse, qui a vendu son âme aux officines étrangères dans la perspective de rééditer le scénario libyen, sait que maintenant cette stratégie de déstabilisation initiée par des puissances étrangères est quasiment réduite à néant par les forces vives de la nation. Elle a misé sur le maintien du Mouvement populaire non pas comme moyen de changement intrinsèque, mais comme instrument au service des agendas et des officines étrangères.
Il lui reste la carte biaisée d'emblée du Makhzen comme moyen pour tenter de revenir en faisant dans la diversion et l'imposture les plus exécrables.
Ce qu'il faut savoir maintenant, c'est que le Makhzen et ses mercenaires, y compris algériens établis à l'étranger, ont perdu la bataille, celle de présenter l'Algérie comme un pays vulnérable et une proie facile pour la transformer en un espace de no man's land.
Le temps du décompte vient de commencer, c'est le retour de manivelle pour cette nébuleuse qui vit son dernier quart d'heure.

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