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Son procès a été reporté au 25 septembre

Benhadid reste en prison !

L’ex-commandant de la IIIe Région militaire est poursuivi pour atteinte à un corps constitué.

Le général Benhadid ne connaîtra son sort qu’à la rentrée ! En effet, la cour d’appel du tribunal d’Alger a décidé de reporter le procès du général Hocine Benhadid jusqu’au 25 septembre prochain.
L’ex-commandant de la IIIe Région militaire est poursuivi pour atteinte à un corps constitué. Il avait été placé en détention provisoire le 12 mai dernier. Il est reproché au général à la retraite des déclarations fracassantes faites à la presse nationale.
C’est la deuxième fois que ce militaire est jeté en prison. En septembre 2015 déjà, il avait été le 2e haut gradé de l’ANP à être emprisonné après le général Hassen Aït Ouarabi. Il lui était reproché une «entreprise de démoralisation de l’armée».
Il avait passé 10 mois de prison avant d’être libéré provisoirement, en juillet 2016, à cause de la détérioration de son état de santé. En mars 2018, Hocine Benhadid, a été condamné à un an de prison avec sursis et à 20 000 dinars d’amende par le tribunal de Sidi M’hamed à Alger. Il pensait alors que ses ennuis avec la justice étaient terminés. Mais voilà qu’une autre affaire pointe le bout du nez. Son avocat avait bon espoir de décrocher, hier, une nouvelle libération provisoire du fait de l’État de santé «très fragile» de son client. «Le général Benhadid risque de mourir d’un moment à l’autre», a fait savoir Me Mecheri la veille de ce procès en évoquant un communiqué publié par le journal Le Soir d’Algérie.
L’avocat du prévenu a tiré la sonnette d’alarme décrivant un homme entre la vie et la mort. «Il ne parle plus, ne peut se lever ni s’asseoir sans aide, même allongé il souffre.
Après sa chute dans les douches de la prison, il a eu une fracture du bassin, la première opération n’a rien donné, il a eu une hémorragie, il sera à nouveau opéré aujourd’hui (hier)», a fait savoir l’avocat. «Benhadid se trouve à l’hôpital Mustapha. À chaque fois que je vais le voir, je crains d’apprendre une mauvaise nouvelle», a-t-il poursuivi. L’avocat a encore une fois soutenu que les propos du général avaient mal été compris. «Ils ont été mal interprétés par une îssaba (bande) qui s’acharne contre mon client, car ce dernier avait au contraire soutenu la démarche du chef d’état-major, et c’est peut-être ce qu’on ne lui a pas pardonné», a-t-il insisté pour dédouaner Gaïd Salah du sort de son client.
La plaidoirie de Maître Mechri est restée lettre morte.Son client en prison… 

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