{{ temperature }}° C / {{ description }}

Cité introuvable.

Condamnation du journaliste Khaled Drareni

Ammar Belhimer réagit

«Khaled Drareni n'a jamais été détenteur de la carte de presse professionnelle prévue par l'article 76 de la loi organique 12-05 relative à l'information du 12 janvier 2012.»

La condamnation du journaliste Khaled Drareni à 3 ans de prison ferme par le tribunal de Sidi M'hamed a suscité une cascade de réactions. Ce jeudi, c'est Ammar Belhimer, ministre de la Communication, porte-parole du gouvernement qui a régi réagi un communiqué, en affirmant que «Khaled Drareni n'a jamais été détenteur de la carte de presse professionnelle prévue par l'article 76 de la loi organique 12-05 relative à l'information, du 12 janvier 2012».
Dans ce document publié par l'agence officielle, «aucune demande n'est parvenue, à cet effet, aux services compétents du ministère de la part de Khaled Drareni».
De même, appuie le département de Belhimer, «aucun organe ni institution indépendante ayant diffusé ses couvertures et commentaires n'a sollicité des autorités compétentes la délivrance de l'accréditation préalable requise à l'effet de l'employer, en application de l'article 81 de la loi organique (12-05)». «Comme nous avons déjà eu l'occasion de le rappeler s'agissant de l'ambivalence de la relation de travail avec certains organes employeurs étrangers, certains journalistes s'installent comme correspondants de fait -non accrédités selon les procédures en vigueur -d'organes étrangers, et entretiennent une sorte de loi -de fait accompli- qui les expose à plusieurs risques dont le premier, et non des moindres, est qu'ils ne sont pas reconnus comme correspondants», indique le ministre.
«Les journalistes en question doivent savoir que les pays des médias qui les emploient n'auraient jamais toléré de telles pratiques sur leur sols respectifs», a-t-il justifié.
Pour Belhimer, «les voies de recours, cadre idoine et exclusif d'un traitement juste du dossier, permettent à la défense de faire appel de la décision prononcée en premier instance, loin de toute ingérence, de toute politisation et de toute manipulation d'une affaire qui, selon les qualifications retenues des faits, ne relève pas du libre exercice du métier de journaliste».

De Quoi j'me Mêle

Placeholder

Découvrez toutes les anciennes éditions de votre journal préféré