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Le président français Emmanuel Macron giflé lors d'une visite dans la Drôme

Le gouvernement dédramatise un geste «grave» mais «isolé»

La gifle infligée au président français Emmanuel Macron, mardi, lors d'un déplacement dans le sud-est de la France est un acte «grave» mais qui n'est «pas représentatif» des Français ou même de la «colère» d'une partie d'entre eux, a estimé, hier, le porte-parole du gouvernement. «Il ne faut évidemment pas banaliser» cet «acte de violence» contre le chef de l'Etat, «parce que c'est grave, parce que toute forme de violence est grave, et qu'elle est grave aussi quand elle touche un représentant, un dépositaire de l'autorité publique, qu'il s'agisse d'un maire», d'un «député», d'un «fonctionnaire» ou du président, a souligné Gabriel Attal sur la radio privée Europe 1. Avec cette gifle «il y a une atteinte à la sacralité de la fonction à laquelle nous sommes tous attachés» et «nous sommes tous en tant que Français agressés, quelque part humiliés», a-t-il ajouté.
Il a toutefois estimé qu'il s'agissait d'«un fait isolé, parce qu'il ne faut pas donner le sentiment que ce qui a été fait par cet homme est représentatif de la société ou de la population française, y compris d'une forme de colère de la part d'une partie des Français». S'il y a bien «des Français inquiets, qui doutent, qui sont en colère», ils «savent exprimer cela dans le cadre du débat et dans le cadre du vote», a-t-il fait valoir. Emmanuel Macron a été giflé mardi par un homme poussant le cri de guerre royaliste «Montjoie Saint Denis!» lors d'un déplacement dans la Drôme (Sud-Est), une première pendant son quinquennat qui a suscité l'indignation générale. L'incident a été abondamment commenté sur les réseaux sociaux, donnant lieu à de nombreuses spéculations et à des commentaires divers.

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