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El Ménéa s'initie à la culture de tomates destinées aux conserveries industrielles

Un projet pilote d’initiation à la culture sous- pivot de tomate destinée aux conserveries industrielles est initié pour la première fois dans la région d’El Ménéa, a affirmé lundi l’ingénieur en chef, responsable des statistiques à la Direction des
services agricoles (DSA) de la wilaya de Ghardaïa, Khaled Djebrit.Les premiers essais d’introduction de la culture sous-pivot de la tomate fraiche industrielle dans les conditions agro-climatiques de la région d’El Ménéa ont donné des résultats "satisfaisants", au regard de la récolte effectuée dernièrement, a indiqué M. Djebrit.Sur une superficie de 20 hectares dédiée à la culture de la tomate en plein Sahara, une production de 7.375 quintaux a été récoltée, a précisé le responsable des statistiques auprès de la DSA de la wilaya de Ghardaïa, indiquant qu’elle a atteint un rendement moyen de plus de 368 Qx/ha.Un contrat de production entre l’initiateur de ce projet et un industriel de la tomate concentrée de l’Est du pays a été concrétisé, permettant ainsi
l’écoulement assuré de l’ensemble de la production de tomate, a t-il fait savoir.La région d’El Ménéa (275 km au Sud de Ghardaïa) qui constitue une zone de prédilection pour la production agricole, a des atouts très attractifs tels le climat favorable, l’ensoleillement tout au long de l’année ainsi que la luminosité, et ce, sans oublier les ressources hydriques importantes qui
permettent le développement d’une agriculture stratégique, diversifiée et variée, selon les services de la DSA.Plusieurs produits tels les céréales, le raisin, la pomme de terre, l’olive et les cultures maraichères ainsi que les plantes aromatiques et
médicinales ont été expérimentés dans la région d’El Ménéa avec des résultats "probants", pour peu que soit assuré un suivi technique et l'introduction de nouvelles technologiques pour optimiser les rendements, estime l’ingénieur en chef à la DSA.Les agriculteurs du sud algérien pâtissent d’un déficit en encadrement et en vulgarisation des techniques modernes de culture, ajoutés à un circuit de commercialisation difficile à maitriser, a-t-on fait savoir. Pour cela les services agricoles s’attèlent à vulgariser les techniques modernes de culture et proposent, en collaboration avec les différents instituts de formation spécialisés dans les différentes filières agricoles, des cycles de formation de courtes durées au profit des agriculteurs de la région.

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