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Les réseaux étrangers «sortent du bois»

Renforts. Après la députée du Parlement européen, après les députés français de Mélenchon, après les syndicats français CGT et Force ouvrière, c’est au tour de l’ONG Amnesty International et du Syndicat français des journalistes (SNJ) qui viennent de jeter le voile et s’immiscer dans nos affaires intérieures. Depuis un peu plus d’une semaine, le «neutralisme» affiché depuis le 22 février dernier par certains milieux étrangers n’est plus de mise. Cette soudaine sortie «chorégraphiée» après une si longue attente s’explique par la conjoncture politique prise par la crise dans notre pays. Il est clair que c’est l’adoption par la majorité des Algériens de la solution de l’élection présidentielle qui fait sortir «les loups du bois». Comme il est clair que ces sorties à la queue leu leu et à visages découverts de ces «fragments» de l’ingérence étrangère répondent à une urgence d’un agenda faussé. Il y a fort à parier que si c’était l’option du vide qui avait prévalu, les relais étrangers n’auraient jamais été actionnés. Donc, sur ce plan, c’est plutôt positif car cela confirme la mise en échec du complot fomenté contre notre pays. Cela reste tout de même tout à fait relatif car il y a tout lieu de croire que les choses ne s’arrêteront pas là. Surtout quand la mauvaise foi et l’intrigue suintent dans les déclarations qui accompagnent ces ingérences. Celles-ci disent, la main sur le cœur, qu’elles défendent la démocratie, la liberté d’expression, le pluralisme et autres valeurs tirées des droits de l’homme. Il se trouve que ces parties étrangères soutiennent le refus d’une élection populaire. L’un des principes fondamentaux de la démocratie. Il se trouve que ces mêmes parties étrangères font semblant d’oublier que l’exercice du journalisme, sous tous les cieux, se réfère à une ligne éditoriale précise, différente et propre à chaque média. C’est au journaliste d’intégrer ou non la ligne éditoriale de son employeur et non l’inverse. Le syndicat français des journalistes devrait commencer par faire la leçon en France pour expliquer aux Français comment et pourquoi les institutions françaises sont infiltrées par des terroristes. Le mal n’est pas né hier. Il est inscrit dans l’histoire de France depuis 1789. Ceci dit, les Algériens iront voter le 12 décembre prochain. Ils éliront leur président de la République. Ils relèveront le défi. Comme tous les précédents défis. Depuis le 1er Novembre 1954 !

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