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Abdelhafid Gana, directeur de l’Ugzia, à L’expression

Améliorer les conditions d’activité de toutes les zones

L’Expression : Bien que vous ayiez fait des efforts, à la zone d’El Kseur, rien n’a été fait...

Abdelhafid Gana : Effectivement, je le reconnais. J’avais contacté dès mon installation, au début de l’année, le maire de cette commune pour organiser conjointement une réunion avec les opérateurs de la zone du moment que ceux de Béjaïa et Akbou ont été réunis par mon prédécesseur. Mais hélas, à chaque fois, il avance un empêchement et cette rencontre n’a pas eu lieu à ce jour.

Pourquoi, pour intervenir dans une zone, il faut réunir des opérateurs ?
Pas spécialement, mais il faut quand même les écouter et recueillir leurs doléances pour cibler les actions à entreprendre.
Pour ce qui est d’El Kseur, j’ai discuté avec le secrétaire général de la wilaya et le directeur de l’industrie et des mines et nous avons convenu d’une rencontre, prochainement, avec les membres de l’association des opérateurs de cette zone pour tracer un programme de réhabilitation de celle-ci avec l’apport financier de la wilaya et des opérateurs eux-mêmes.

Sera-t-il question de sa réhabilitation totale ou du réseau d’assainissement seulement ?
Dans l’immédiat, on s’occupera du réseau d’assainissement et de l’éclairage public puis, plus tard, on passera à autre chose. Notre entreprise prévoit d’installer, d’ici la fin de l’année, des barrières « levantes » et de recruter des agents de sécurité. Ce sera le cas pour les zones d’activités d’El Kseur et d’Akbou.
Justement, pour Akbou, vous avez réglé le problème de l’éclairage public, comme rapporté par notre quotidien dernièrement, mais qu’avez-vous fait d’autre ?
Nous avons également engagé l’ONA qui s’est occupé de l’assainissement et nous avons contacté les entreprises qualifiées pour acquérir les barrières et les installer au niveau des accès afin de sécuriser cette zone. Après cela, nous verrons pour les routes qui doivent être réhabilitées. Il faut y aller doucement mais, sûrement.

Et la zone de Béjaïa ?
Pour Béjaïa, nous avons réparé l’éclairage public et bitumé les nids-de-poule. En plus de ces actions, nous avons saisi les services compétents pour le branchement en eau potable de certains opérateurs qui ne le sont pas au même titre, d’ailleurs, que ceux d’Akbou. Les opérateurs de la zone industrielle d’Akbou ne sont pas branchés au réseau AEP.
Nous en avons fait part aux responsables de l’ADE qui ont promis d’y remédier.

Pour tous les travaux que vous prévoyez d’entreprendre, les opérateurs participeront-ils financièrement ?
Pour les travaux d’envergure, on est obligé de solliciter, non seulement les opérateurs mais aussi les autorités. Sinon pour les autres, l’entreprise les prendra en charge.

Comptez-vous gérer les nouvelles zones implantées à Bejaïa ?
Absolument. Nous comptons sur les autorités pour nous les affecter. Avec notre expérience dans la gestion des zones et la nouvelle dynamique de l’équipe de l’Ugzia de Béjaïa, nous ne lésinerons sur aucun moyen pour les garder en meilleur état et satisfaire tous les opérateurs qui y seront implantés.

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