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15e édition du Prix du président de la République «Ali-Maâchi»

Le palmarès dévoilé!

L'opéra d'Alger Boualem-Bessaïh, a accueilli mardi soir, la 15e édition du prix «Ali-Maâchi» qui s'est ouverte avec l'allocution de la ministre de la Culture et des Arts, Malika Bendouda, saluant la «mémoire des artistes», récemment disparus. En présence de plusieurs membres du gouvernement et conseillers du président de la République, Malika Bendouda a rappelé «le devoir de distinguer les jeunes créateurs»,  qui, selon elle, travailleront à «élever le patrimoine culturel algérien au rang de l'universalité». Elle réitéra sa volonté de créer d'autres prix d' «encouragement» pour les jeunes artistes et de «reconnaissance» pour leurs ainés qui auront beaucoup donné à la culture algérienne. Aussi, nous apprend -on que 24 lauréats ont été sélectionnés sur plus de 600 propositions desquelles 500 ont été retenues.
La ministre de la Culture et des arts a donné par la suite le coup d'envoi de la diffusion en direct sur toutes les plates-formes du nouveau clip, «L'Hymne de l'artiste», interprété par une vingtaine de chanteurs, dont Abdelkader Chaou, Hassiba Amrouche, Asmae Djermoune, Salim Chaoui et Yasmine Amari. Deux cartes d'artistes numériques et autant professionnelles ont été remises respectivement au jeune metteur en scène, scénariste et comédien Mokhtar Zeddam et à la comédienne Hania Bekhti, ainsi qu'aux techniciens, Ahmed Talantikit et Hossem Eddine Rais, marquant symboliquement le lancement de cette opération. Auparavant, les étudiants de l'Institut supérieur des métiers des arts du spectacle et de l'audiovisuel (Ismas), ont animé le hall d'entrée de l'opéra d'Alger avec un extrait d'une pièce chorégraphique intitulée, «Lire entre les lignes», conçue par Fares Fettane et Samah Smida. Les étudiants de l'Ecole supérieure des beaux-arts, ont pour leur part, réalisé une grande fresque sur toile et deux bustes sculptés à l'effigie de Ali Maâchi, artiste-martyr, musicien, auteur- compositeur et interprète tombé au champ d'honneur le 8 juin 1958, après avoir été lâchement exécuté par l'armée coloniale. Dans la catégorie littérature, le Premier prix est revenu à Meriem Yousfi, jeune auteure de «Abi El Djabel», et qui avait déjà été primée lors du festival international de la littérature et du livre de jeunesse (Feliv) en 2015. Le jury, présidé par le romancier, poète et journaliste Smail Yabrir a attribué le deuxième prix de cette catégorie à Selmane Bouazza, auteur de «Nidaat Djoudrane Edhat», et qui a également publié deux recueils de nouvelles en 2018 et écrit pour le théâtre. «Matlouaâ» de Abd El Basset Bani et «Chambre 36» du journaliste et auteur Fateh Boumahdi ont respectivement reçu en ex aequo le troisième prix. Dans la catégorie poésie, le premier prix de cette catégorie a été attribué à Brahim Moussa et le second à Soumia Douifi. Le jury qui compte parmi ses membres, la poétesse et dramaturge Kenza Mebarki, a remis le troisième prix ex-aequo à Yacine Adda Ben Youcef et Abdelghani Belkhiri. Dans la catégorie «meilleure interprétation théâtrale», le premier prix de cette catégorie a été attribué à Mustapha Miratia pour son rôle dans la pièce «Arlequin, valet des deux maîtres» pour lequel il avait déjà été primé lors du dernier Festival national du théâtre professionnel. Hamza Boukir, diplômé de l'Institut supérieur des métiers des arts de la scène (Ismas), a décroché le deuxième prix de cette catégorie pour son rôle dans la pièce «Cfawa», alors que Leila Benattia et Rahmouni Ouzien se partagent la troisième place de cette catégorie. Dans la catégorie du meilleur texte dramaturgique, le premier prix est revenu à Ilyas Fareh, enseignant en arts plastiques, pour le texte «Aâlam Djamil». Le jury composé, entre autres de la jeune comédienne Wahiba Baâli, de l'ancien directeur du théâtre régional d'Oran Said Bouabdallah et du chorégraphe et comédien Aissa Chouat, a attribué le Deuxième prix à Mohamed Dernouh pour «Godot est arrivé» et le troisième à Zakaria Hadba pour le texte «Le loup». Dans la catégorie «musique», le Premier prix est revenu à Mohamed-Boualem Ghouini pour la pièce, «Cut Monster», alors que le deuxième prix a été décerné par le jury présidé par le romancier, poète et journaliste Smail Yabrir, à Aymen Saâdana pour la musique intitulée, «Suite de mon village». Comptant également parmi ses membres, le compositeur et chef d'orchestre, Amine Dehane, le jury a attribué la troisième place de ce prix ex aequo à Belkacem Benkrizi pour son inspiration intitulée, «Vie d'espoir» et Abdelfetah Mokhnèche pour sa pièce «Yes We Can». Dans la catégorie «Cinéma et audiovisuel», Le producteur et réalisateur de films Aissa Djouamaâ, et l'auteur, réalisateur de fictions et de documentaires Hocine Saâdi ont décerné avec leurs collègues, membres du jury le premier prix de cette catégorie à Mohamed Tahar Boukef pour son film, «Bridge». Le deuxième et le Troisième prix sont respectivement revenus à Rachid Belhanafi pour son travail au titre de, «Le monde, tel que je le vois», et Youcef Salah Eddine Bentis pour son rendu intitulé, «The Final Word». Dans la catégorie «danse chorégraphique», le premier prix est revenu à Khaled Kechar pour son interprétation dans «Hibr âala waraq» (contemporain), alors que la deuxième et troisième place de ce prix ont été décernées, respectivement à Nour El Houda Ghenoumet pour sa prestation dans «Ya loukan «(et si / chanson) et Mohamed Adlane Mezit pour la chorégraphie qu'il a exécutée au titre de «Rissalet insen» (contemporain). Dans la catégorie, «Arts plastiques», le jury présidé par le romancier, poète et journaliste Smail Yabrir, et qui compte parmi ses membres, les artistes plasticiens, Fethi Hadj Kacem et Said Debladji, a, par ailleurs, décerné, le premier prix de cette catégorie à Ahmed Zerkaoui, pour son rendu, intitulé «El Mahkama». Le deuxième prix a été attribué à Amina Hadjer Mihoub pour son travail qu'elle a titré, «El âyla», alors que la troisième place de ce prix est revenue ex aequo à, Abderrahmane Ishak Bensalah pour «Les anges de la terre» et Abdenour Debbabi pour «Le joueur de guitare».

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