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Festival international Dimajazz

Duoud et sonorités électro au menu

Le luthiste algérien Mehdi Haddab et le Tunisien Jean-Pierre Smadja, connu pour ses nombreux albums sous le nom de Smadj, ont enflammé l’auditoire…

Le duo Duoud a transporté le public, vendredi soir, lors de la 4e soirée du 16e festival Dimajazz de Constantine, dans un voyage musical hallucinant, alliant majestueusement le subtil mélange de la vibration classique du oud, l’improvisation du jazz et du rythme électro. Composé du luthiste algérien Mehdi Haddab, membre du célèbre groupe Speed Caravan et du Tunisien Jean-Pierre Smadja, connu pour ses nombreux albums sous le nom de Smadj, Duoud, armés de leurs ouds électriques ont dès les premiers instants de leur spectacle enflammé l’auditoire à coups de rifs et de distorsion, dans un style musical dont eux seuls ont le secret. Le duo qui s’est révélé aux yeux du monde en 2006 avec leur premier album « Wild Serenade », qui leur a valu le prix du meilleur nouvel arrivant aux BBC Music Awards, a interprété les tubes « Midnight for dancing with friends in your living room » « Johnny Guitar » « Zanzibar » « Get sexy get mad » créant une communion dansante avec un public en totale extase.
Après plus d’une heure de show, Mehdi Haddab et Smadj ont quitté la scène sous les applaudissements d’un public qui s’est délecté d’un univers musical combinant de multiples influences techno, jazz, rock, groove . En première partie de soirée, le groupe algérien AVC (Astral Vibes conspiracy) avait déjà annoncé la couleur pour ce qui allait être une soirée de pur bonheur musical, une soirée faite de découvertes et de fusions en tous genres. La formation composée d’Oussama Becissa (oud), Ramy Maalouf (flûte), Mohammed Amaidia (guembri) et Hassan Khoualef (batterie) a scotché le public avec les morceaux « traveling », le bien-nommé « Transcendance » ou encore le très aérien « Cosmic soul ». Mêlant les sonorités orientales et occidentales dans une osmose qui frise la perfection, les musiciens originaires d’Oran ont eu droit à une standing ovation, eux, qui, faut-il le souligner, n’étaient jamais montés sur scène auparavant.

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