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M6, TV5, RSF ou la main de l’étranger

Tirs croisés. La dernière déferlante de haine des milieux hostiles à l'Algérie à laquelle nous venons d'assister a ouvert les yeux à tous ceux et celles qui, de bonne foi, manquaient de discernement. Ceux qui persisteraient à nier l'existence d'un complot contre notre pays après ce «passage de relais» entre différents médias étrangers qui, sous des prétextes fallacieux facilement prouvés, sont tombés à bras raccourcis contre l'Algérie, ne peuvent plus être de bonne foi. La charge a été cette fois plus forte que par le passé. Sa programmation minutieuse démontre également l'expertise de ses initiateurs. Une expertise et des moyens que seuls des officines bien «outillées» peuvent avoir. Cette fois, la folie furieuse, qui s'est emparée de ces officines, les a tellement aveuglées qu'elle leur a fait commettre bon nombre d'erreurs. Au point où, contre toute attente, elles ont «marqué contre leur camp» comme diraient les sportifs. Ces officines ont «réussi» à unir l'ensemble des Algériens contre leurs attaques. En témoignent les commentaires unanimes sur les réseaux sociaux qui dénoncent, plus que par le passé, l'ingérence étrangère dans nos affaires intérieures. Nul besoin de revenir sur le documentaire diffusé par M6. Tout le monde sait, maintenant, qu'il a été tourné par des escrocs de la liberté d'expression. Que tout y est faux. De l'autorisation de tournage falsifiée, aux «acteurs» abusés. Nul besoin non plus de revenir sur les jappements de TV5 qui a reconnu, malgré elle, faire travailler des personnes au noir sans les déclarer et qu'elle paie en liquide. Procédé de l'informel. Nul besoin enfin de s'éterniser sur RSF, cette ONG qui publie des statistiques faisant état de 389 journalistes détenus dans plusieurs pays de la planète et qui s'en détourne pour se consacrer au seul cas supposé, en Algérie, car sans carte d'identité professionnelle. Nous préférons aller au fond de cette haine de ces milieux différents, mais qui se coalisent très vite dès qu'il s'agit de l'Algérie. La première question élémentaire à se poser est de savoir quels sont les ressorts d'une telle haine? Ou comment les expliquer? À l'époque des Français d'Algérie rapatriés par leur mère patrie, on aurait pu expliquer cette haine par le choc du «paradis perdu». Mais combien reste-t-il de ces adultes nostalgiques inconsolables 58 ans après? La durée de vie étant ce qu'elle est, on peut dire que nous sommes dans la génération de leurs enfants. Avec forcément, moins de souvenirs attachants. Ce qui conforte l'idée du complot. Ceux qui se souviennent du Français Bernard Kouchner, plusieurs fois ministre et cofondateur de l'ONG «Médecins du monde», n'ont certainement pas oublié qu'il avait déclaré, dans un entretien au JDD en 2010, que «la génération de l'indépendance algérienne est encore au pouvoir. Après elle, ce sera peut-être plus simple». Lui et son milieu misaient sur nos jeunes d'aujourd'hui qui, croyaient-ils parce qu'ils n'ont pas vécu les souffrances de la colonisation (de l'annexion aussi) comme leurs parents, allaient être plus faciles à tromper pour la reprise du contrôle de l'Algérie par les anciens occupants. Le «porteur du sac de riz» et son milieu n'avaient pas prévu la prise en charge de ce point par nos autorités. En effet, il se trouve que le projet d'une nouvelle Algérie, porté par le président Tebboune, marque une étape de passage du témoin générationnel. Avec toutes les précautions nécessaires pour que ce passage soit bien ordonné. Un ordonnancement prévu par la bonne transition qui est en cours. Le temps de passer toutes les «clés» de la «maison» à nos jeunes en mettant l'accent sur la transmission mémorielle. Un aspect qui, disions-nous, n'était pas dans les scénarios envisagés par les officines de Bernard Kouchner, de BHL, de Barjolet ou de RSF. Et d'autres qui apparaissent sous d'autres noms, mais conçus pour se coaliser en un clin d'oeil. Ces officines ont été tellement surprises par le contenu du programme présidentiel, qui fausse tous leurs plans, qu'elles ont décidé de tout mettre en oeuvre pour l'entraver. En créant, par tous les moyens et avec l'aide de quelques supplétifs locaux qui sont, heureusement, en voie de disparition (d'où l'intervention directe du lobby), les conditions pour déstabiliser le pays. Avant le reportage de M6, il y avait eu les coupures d'eau injustifiées, la mise sous le coude des zones d'ombre, la rupture des liquidités dans les postes et d'autres détails pouvant inciter au mécontentement de la population et qui sont autant de moyens mis en oeuvre pour contrer l'objectif d'une Algérie nouvelle. Même les entraves aux règlements des conflits dans les pays qui nous entourent font partie du même plan de déstabilisation suivi contre notre pays. Et à chacune de nos victoires, comme celle contre le Covid-19 ou la bonne maîtrise de notre économie malgré la récession mondiale, la haine de ces officines redouble de férocité. Plus que jamais, les Algériens, tous les Algériens, doivent redoubler de vigilance. En restant unis. Pour être plus forts que nos ennemis!

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