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Covid-19, la corruption au grand jour

aL’industrie pharmaceutique est accusée. Ses larbins aussi. Pour quelques dollars, ils deviennent des criminels. C’est un éminent professeur qui…

Scandale. Les langues se délient. La corruption pratiquée par les labos s'étale au grand jour sur la place publique. C'est un livre intitulé: «Y a-t-il une erreur qu'ils n'ont pas commise? Covid-19: l'union sacrée de l'incompétence et de l'arrogance» publié, hier en France aux éditions Albin Michel, par l'éminent professeur Christian Perronne, qui a mis le feu aux poudres. Qui est cet auteur? Actuellement le professeur Perronne est président de la commission des maladies transmissibles du Haut Conseil français de la santé publique. Il est aussi chef du service des maladies infectieuses à l' de en Ile de France. Il est également conseiller de l'OMS pour la politique vaccinale européenne. Il a fait partie de l'équipe qui a mis au point, en 2009, le vaccin contre le virus H5N1 de la grippe aviaire. Il est cofondateur et président de la Fédération française d'infectiologie. Son CV ne s'arrête pas là. Il est trop long. Le professeur Perronne est une sommité médicale dans les maladies infectieuses. Son avis compte et est reconnu par ses pairs et les institutions sanitaires internationales. Sa présentation était nécessaire pour comprendre la gravité du scandale qu'il vient de révéler au monde entier. Dans son livre, mais aussi sur les nombreux plateaux de télévision où il est intervenu ces derniers jours, il dénonce et s'insurge contre les comportements indignes qui entourent la pandémie actuelle du Covid-19. Ses déclarations sont d'un courage remarquable. Il parle de «mensonges d'Etat» dans la gestion de la crise sanitaire en France. Il accuse de «criminels» ceux qui ont décidé l'interdiction du protocole incluant la choloroquine dans le traitement contre le coronavirus. Que ce soit en France ou ailleurs. Pour lui 25 000 morts auraient pu être évités en France si ce protocole n'avait pas été interdit. Comment explique-t-il cette interdiction? «J'ose le dire, il y a une véritable corruption qui a plongé des dizaines de milliers de Français dans la mort.» «Tous les experts qui se sont dressés contre l'utilisation de la chloroquine ont été ‘'achetés'' par l'industrie pharmaceutique. Je n'ai pas peur de le dire! C'est la première fois de ma vie que j'ai honte pour mon pays» a-t-il asséné sur un plateau télé hier. Il a cité, comme preuve, les taux de létalité bien plus faibles dans les pays qui ont adopté le protocole de la chloroquine que dans ceux, comme la France, qui l'ont interdit et où la situation est dramatique. Quand on entend cette voix forte d'un expert reconnu mondialement dire toutes les manipulations qui ont entouré la gestion de la pandémie par certains milieux, y compris à l'intérieur même de l'OMS, il y a de quoi désespérer du comportement de certains responsables qui n'hésitent pas à laisser mourir leurs compatriotes contre une rétribution financière. C'est malheureusement ce qui s'est passé en France. Malheureusement c'est aussi l'attitude de l'OMS avant de se rétracter et réautoriser la choloroquine. D'ailleurs, il y a des pays, comme la France, qui ont déjà passé commande d'un vaccin qui n'a pas encore été mis au point. Dont personne, même pas ceux qui y travaillent, ne sait s'il va être efficace. Comme en 2009 pour le H5N1 lorsque le laboratoire Sanofi avait ouvert une usine dédiée uniquement au vaccin avant même de connaître l'ampleur de la propagation du virus. Il s'est avéré par la suite que l'OMS avait exagéré son alerte puisque la pandémie n'a jamais eu lieu. Sanofi a, évidemment, perdu son investissement. Si on prend les deux cas de virus, le H5N1 et le Covid-19, on retrouve la même anarchie dans la gestion par l'organisation onusienne. D'ailleurs, la déclaration de la directrice de l'OMS pour l'Afrique qui avait voulu présenter notre pays comme ayant une évolution dramatique du coronavirus, relève à coup sûr de l'entreprise qui consiste à masquer l'efficacité de la chloroquine dans les pays qui l'ont adoptée et maintenue contre l'avis de l'OMS, comme l'Algérie. En France le scandale ne fait que commencer avec les révélations du professeur Perronne. Mais c'est aussi un scandale pour l'OMS et tout ce qu'elle charrie comme décisions douteuses qui concernent tout de même la vie humaine. Perronne ne pouvait se taire tant il dénonce avec ses tripes ses compatriotes et par voie de conséquence toute l'humanité. On n'en doute pas lorsqu'il dit «avoir honte pour son pays». Quant à nous, en Algérie, nous sommes fiers de nos experts de la commission scientifiques qui ont maintenu la chloroquine contre l'avis de l'OMS. Nous sommes fiers de leur combativité face à la manipulation de la section Afrique de cette organisation onusienne. En un mot, nous sommes fiers de notre pays et de nos dirigeants qui ont su garder le cap sur le même protocole permettant ainsi de sauver des milliers d'Algériens qui ont contracté le virus. Oui, il y a de quoi être fier!

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