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«Bulbbul», le conte de fées de Bollywood qui a séduit Netflix

Après les Américains, les Espagnols et les Turcs, les Hindous de Bollywood, sont tombés dans le piège de Netflix et programment maintenant des films via des plates-formes de streaming exclusives.
Ainsi, la maison de production de l'actrice Anushka Sharma, Clean Slate Films, a fait ses débuts avec «Bulbbul» sur Netflix la semaine dernière. Après «Phillauri» (2017) et «Pari» (2018), il semblerait que Sharma se tourne vers un type particulier d'histoire - une avec des protagonistes féminines fortes dans un monde surnaturel. «Bulbbul» se déroule en 1881, sous la présidence du Bengale.
Ces derniers temps, alors que Bollywood connaît un grand succès et est devenu célèbre pour produire du contenu remixé et remixé, un film d'époque est rafraîchissant à voir. Elle propose un conte de fées qui a mal tourné, un grand manoir avec des secrets et des propriétaires injustes ont préparé le terrain pour le film d'horreur surnaturel de 90 minutes.
Bulbbul, une jeune fille, est privée de son enfance lorsqu'elle est mariée à un aristocrate d'âge moyen, Indranil Thakur (Rahul Bose).
Dans le même temps, Bulbbul et son beau-frère Satya, à peine plus âgés qu'elle, se lient d'amitié. Pour amuser une enfant mariée, effrayée et confuse, Satya lui raconte une histoire folklorique sur une femme démon aux pieds inversés, qui rôde sur la terre, assoiffée de sang humain.
Ainsi, Bulbbul et Satya forgent une amitié sur la base de contes de fées.
Vingt ans plus tard, une grande Satya (Avinah Tiwary) revient de ses études à Londres et constate que rien n'est resté le même depuis son enfance. Bulbbul (Tripti Dimri) est la dame faisant autorité du manoir, Indranil a disparu et les hommes du village sont assassinés.
Les habitants disent que c'est le fait de la femme démon qui a vengé les victimes de l'injustice.
À travers une série de flash-backs, les circonstances entourant le manoir et le village se révèlent lentement.
Avec une belle cinématographie et une partition musicale obsédante, le film promet beaucoup, mais avec un scénario faible - presque prévisible -, il ne tient pas.
Dimri as Bulbbul est passionnant, passant de naïf et consciencieux à mélancolique et, parfois arrogant.
Le film d'horreur ne fait pas peur, mais les scènes calmes de violence et de sang hanteront le public longtemps après la fin du film. «Bulbbul» est maintenant diffusé sur Netflix pour le public mondial.
Ce film est le premier d'une série de films qui sera bientôt diffusée sur la plate-forme américaine. Avec Bollywood, Netflix est sûr d'avoir du contenu chantant et dansant.

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