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Les auto-écoles réclament la reprise de leur activité

Impactés par la crise sanitaire, les gérants des auto-écoles affiliés à l'Organisation nationale (Onae), ont réclamé la reprise de leur activité. Fermés depuis trois mois par mesure préventive contre la propagation du
Covid-19, ces établissements parlent d'un «calvaire» dû à l'arrêt forcé de leur activité.
Dans un communiqué adressé au ministre des Transports et des Travaux publics, le collectif dénonce une situation dramatique pour une corporation forte de 8 000 auto-écoles, à travers tout le pays, et dont le personnel (gérant, moniteurs et autres employés) sont astreints à un chômage technique non rémunéré.
Ce qui a des conséquences dramatiques pour autant de familles, alors même que les établissements doivent faire face aux charges diverses (Cnas, Casnos, factures et impôts, notamment) parmi lesquelles le loyer n'est pas des moindres.

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